Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur les cafards que nous sommes dans ce local poubelle
Je ne veux plus rien voir pire je ne veux plus rien être
Je pense donc je souffre et j'envie les marionnettes
Quitter sa vie par la grande porte ou la fenêtre
Réussir sa mort après des années d'echecs
C'est dur à explqiuer, j'ai peur de la vieillesse
Mais je refuse d'être mis en bierre par l'ange qui m'a fait naitre
J'me roule un oinj de zeub seul dans cette grande ville
Dans ma tête c'est l'bordel comme dans silent hill
Mon ex s'est barrée avec l'amour qui me restait
Je porte la cicatrice d'une amputation sans plaie
Demain n'est qu'une pierre tomable et quelques chrysantèmes
En attendant j'donne un peu de répis aux [?déshunnis sans gènes?]
Vu qu'on vit sans rêve que les nuits s'enchainent
Que nos yeux s'détournent des souffrances, que nos vies s'entrainent
T'as le sentiment d'être honnête avec ton tiquet d'bus
Ton taff ton oseille et ton p'tit red bull
On parle de crise de dysète rude
Alors qu'on s'branle sur la souffrance de l'émisphère sud !
Reffrain
J'ai refusé les règles du jeu
Je ne veux plus rien voir, j'ai condamné mes yeux
La vérité s'cache à l'ombre des gens heureux
Qui pensent naivement que demain tout ira mieu
Attiré par le mauvais côté du miroir
Marie-Jeanne m'aide à oublier mes idées noirs
Entre le spliff et l'idéal
Je copie le corps de milles rêves brisés, criblés de balles
Quand la terre est changée en un cachot humide
Que nos jours sont comptés par des matons cupides
Une Odycée implique pertes et amour du vide
Pénéloppe à préparrée les cartons d'Ulyce
J'suis dépendant de ma feuille, si mon inspi s'bloque
On me retrouve au sol avec du sang coulant de ma glotte
Enfermé dans une cabine sans issuse de secour
Un labyrinthe sans murs en guise de tristes jours
Est-ce la réalité ou ai-je les yeux fermés ?
Si ca se trouve j'suis mort et j'mène déjà ma vie de damné
Si tu m'entends c'est ptet que t'as un sixième sens
Je sens les flammes de l'enfer, j'ai vu ces chimère d'anges
Que restera-t-il de notre civilisation ?
Des tanks, des ogives, des armes, des munitions
On ne retrouvera rien de moi, j'aurais tout effacé
Tiré ma révérence, je n'ai fait que pa**er
Difficile de porter l'espérance dans ses bagages
J'essai de me séparrer d'un dixième de ma rage
J'me sens comme avant un suicide devant ma page
Entre le spliff et l'idéal comme un lion dans sa cage
Reffrain
J'ai refusé les règles du jeu
Je ne veux plus rien voir, j'ai condamné mes yeux
La vérité s'cache à l'ombre des gens heureux
Qui pensent naivement que demain tout ira mieu
Attiré par le mauvais côté du miroir
Marie-Jeanne m'aide à oublier mes idées noirs
Entre le spliff et l'idéal
Je copie le corps de milles rêves brisés, criblés de balles
Quand la pluie étalant ses immenses trainnées
Forme des barraux semblant vouloir m'isoler
Je plonge dans ma cammisole pour me réchauffer
La folie comme repère, le hasard comme berger
Des cloches tout à coup sonnent avec furie dans ma tête
Une voie me demande de parler d'elle dans un texte
Débarquement d'idées mauvaises qaund l'a**iette
Est vide, comparrée à celle de ceux qui nous raquettent
Envie de mettre une bombe dans ma veste
D'faire péter ma cage thoracique, liberrer la bête
Déjà trop mort pourqu'on machève
Mon âme est à vendre peu importe qui l'achètte
De long corbillards comme lugubres
Limousines
Je négocie
Mon départ d'ici
Revenir comme un phénix ou rester comme un zombie
A faire le bilan de ce que les années pa**ées m'ont pris
Dans mon jardin de regrets
Les fleurs du mal poussent au milieu des claymores et quelques chagrins secrets
Tout les matins j'me perd
Entre l'aurore et la fin d'un cauchemard
Je sens que les parpaings se resserent
Reffrain