(Don Choa - Le Rat Luciano - Menz - Sat / Le Rat Luciano )
(Sat)
Un petit pour la route
Comme a dit un gars!
Tant que tu vis, tant que tu reste bien
Ça donne un truc à dire
Ouais! C'est bien ça.
Je dois rien à personne
Si ce n'est à dieu, ma mère, FF, mes enfoirés et moi-même, mes frères
Ceux qui remplissent nos salles de concerts
Ce public qui se fie à la sincérité de nos disques
Je peux pas prétendre tout comprendre ou tout connaître
Je parle que de moi, de ma vie de façon honnête
Je mérite pas la légion d'honneur
Pour narrer ce qui se pa**e autour
Respect une fois de plus à tous ceux qui m'entourent
Merci à tous ceux qui me donnent force et amour
Quand je suis à cour!
A tous ceux que je saoule et qui en demande encore
J'aimerais avoir les moyens de faire plus
Pouvoir vous dire plus
Mais aucun de nous a la science infuse
Parfois j'aimerais parler d'autre chose
Que de frics de cul
D'histoire de drogue à la con de flics de rue!
Même quand je divague-je retombe sur mes pattes
En deux dires retour à la case départ
Je parle de quoi de filles de flics de descentes
De fric de briques de banques
Chaque fois que mon stylo pleure
De joie ou de douleur
C'est anx. d'un peu de mon sang qui se vide
Même s'il en a pas la couleur.
(Le Rat)
Buenos Dias, faîtes ce que bon vous semble
Ecoutez ou haïssez ce qu'on ressent,
Ceux d'en bas comprennent
Car ce qu'on vit se ressemble
Lyrics haute tension
Ça parle de filles, flics et descentes
On parle de Saïds que nous sommes
Ça va durer jusqu'à ce que l'heure de notre mort sonne
Toi qui es de la zone tu le sais
Le sang, l'émotion prend le pas sur la raison
Comme l'alcool sur le sang,
Là où je vis ça parle de putes
Ou de filles clean, de cochonnes aimant le kiki
Même de lil' kim
De ce qui dirige le monde
Le liquide, le blé,
Est-ce qu'on l'aime? Oui kid
Lorsqu'on cause ça part dans tous les sens
De l'heure où l'alcool nous décompose
A celle des descentes
Les enquêteurs de la crime
De ceux qui les descendent
Si t'es plus sous terre
C'est le moment de redescendre
Qu'est-ce qu'on fait?
On rit, drink, brime, fume, trime, track et rime
En venant chez nous tu te demanderas
Où c'est que tu as atterri?
Dans un énorme asile
Ou au cour de la vraie vie
Refrain:
On parle de ...
On cause de ...
Ça parle de ...
Ça cause de ...
On parle de quoi?
On cause de quoi?
Ça parle de quoi?
Ça cause de quoi?
On parle de ...
On cause de ...
Ça parle de ...
Ça cause de ...
(Don Choa)
Ça parle de filles, flics, descentes
Fric, Brinks et banques
Quand on a besoin que de drink,
Papier, sh** et encre
J'arrive habillé pas très chique mais je rentre
Et quand je ris, tu crois que c'est un tox
En pleine crise de manque
La limbri et les soucis te hantent
Ou le vice te tente?
C'est que nos vies sur pages
Que le son se propage!
Imagine si on sort tout un matos militaire
Tu mets ça dans la rubrique sport ou faits divers?
Le réel c'est pas les séries policières ou les info
Je voudrais niquer la fille du commissaire dans sa twingo
Tête dingo sans flingot
Cherche les lingots d'or
Sache lingo max. cha**e dans le gringo d'or!
Tu te sens mal ou tu salives?
Tu te sens seul et tu balises?
En pleine nuit on arrive
Mon armée de salauds te salue
Rien à foutre de tes règles ou estimations
Seul le tout puissant connaît notre destination
(Menzo)
Dans notre quartier sur les murs
Y a tout un tas de phrases
Et si je le voulais
Je pourrais en faire mes propres phrases
T'y trouves souvent des prénoms
Suivi d'un je t'aime
Ou bien j'te baise ou suce moi
Pour les plus extrêmes
Crois pas que l'état ou les flics soient en reste
Cherche bien, tu trouveras vite des
" On vous nique, on vous déteste "
Signé les petites pestes
Les même prêt à te sortir un bout ou une lame
Dès que tu les testes!
Certain appelle ça la cour des miracles
Ceux qui n'y sont jamais venu
Crois qu'on s'est fait la guerre
Comme l'Iran et l'Irak!
Y en a pour tout le monde
Même pour Jacques Ch ...
En fait-on parle de tout et de n'importe quoi
Dès qu'on fume ce sh ...!
Des coups qui pourrait nous rendre riche
Envoyé derrière les barreaux
Tous ceux qui échouent
Et ici tous ceux qui connaissent ces récits par cur
Au point de se confondre parfois avec
La haine de Bonni Parker!
Refrain