Dans le plus grand des silences
La science avance, la science progresse et pourtant les doutes se pressent
C'est au nom du progrès qu'ils sacrifient l'humanité
C'est au nom du progrès qu'on devient cobayes par par milliers
On a accepté de se taire, on a tout laissé faire
Toujours plus vite, toujours plus loin, mais tout s'hérite, tout se mérite
Nous n'y sommmes pas pour rien
Quand l'expérience cède à l'inconscience, qu'elle agresse, qu'elle régresse
Personne ne sent l'urgence, le supplice de nos sens
Tous coupables au fil des années, tous complices rongés par les regrets
Pour quelques emblèmes qui protègent leus intérêts
L'homme se croit immense, il paiera son arrogance, réduit au silence par la terre qu'il offense
Toujours plus vite, toujours plus loin, mais tout s'hérite, tout se mérite
Nous n'y sommmes pas pour rien
Si demain tout s'éteint, si demain c'est la fin, nous n'y serons pas pour rien
Ouvre grand les yeux, profites-en un peu, ouvre grand les yeux tant que tu le peux
Respire un peu plus fort, là où plane la mort, pendant que ton corps fait encore l'effort
Encore plus vite, encore plus loin, mais tout s'hérite, tout se mérite
Nous n'y serons pas pour rien
Si demain tout s'éteint, si demain c'est la fin, nous n'y serons pas pour rien
[pour rien, pour rien, pour rien, pour rien...]
(Merci à nétOale pour cettes paroles)