He, tcheck ok,
Je parle à Brams qui coffre pour le Panama,
A Daou et Itris pour les transferts à Malaga.
Je parle à ma mère,
Car une mère on n'en n'a qu'une.
À Na**er pour les matches décrypter sur Can*l +.
Je parle à Walid et Chiara** avec qui on s'est juré de faire du biz,
En disant le reste: Nique sa race.
À Baquari, ambicieux comme Obama!!!
Et ce soir ou sa clash et sa commence par: Oh! Le batard.
Je parle aux rageux qui achète du biz de rue,
Oui je vise le luxe,
Bande de fils de pute.
Je parle à Nasim pour le sang chaud mais la tête froide,
À Doumams pour les soirées PES sur la Play 3
Je parle à Marouf et tout sa,
Qui t'envoie des textos: Wesh bien ou quoi? À 4h00 du mat'.
À Brahim quand on disait,
On est des chiens et pas des singes,
À Youssef pour les places au Parc Des Princes.
Je parle à toi qui ma menti,
En jurant sur la Mecque,
Je pardonne pas, j'oublie pas,
Je te jure sur ma mère.
Je parle à toi,
J'ai toujours aidé,
À ma connaissance,
Mais tu ma dis: Être humain n'est pas reconnaissant.
Je parle du traumatisme crânien,
Et des côtes fêlés,
Car je savais pas,
Que j'avais des potes,
J'avais des potes PD.
Je parle de ceux qui ont pas bougé comme des laches.
J'ai appris y'avais qu'un pas entre les teug et les ta**.
J'parle à la rue,
Car la rue ne pardonne pas,
A badjaga car les bonhommes ne balance pas.
J'parle à Akim que les tombes fleurisse,
A Ya**ine que j'ai même pas aller voir à Fleury.
J'parle à la Fofana car les vraies reconnaisse les vraies,
J'parle à (Biiip)
Car les traîtres reconnaisse les traîtres.
Mais tout les boukavs,
Moi j'suis pas comme as,
Donc même si t'es une balance, j'sortirais pas ton blaze.
J'parle à tous ceux en chiens qui s'mettent à braquer des banques,
À mon petit Adems qui peut même fourrer des trans'.
J'parle à Adil t'es cramé change cette puce,
Au 21 décembre où j'ai mis enceinte cette pute.
J'parle à Karim enfermé a Nanterre
À Malik courageux pour ses représailles à long termes,
J'parle à Bilal qui t'appelle 8 fois par jours:
Wech Kofal, j'ai chwara un gamos, on va faire un tour?"
J'parle aux jaloux proches niquer vos mères,
À Davro mon boogzer de Laumière.
J'verse des larmes a demi sang a demi sel,
Pour le pote Resko décédé en 2007.
À ceux béton pour des litrons ou des plaquettes,
J'parle aux frères en maison d'arrêt.
La vie c'est une (;),
Une dernière pour les grand et les p'tit de cette génération baisée du crane.