(Antoine Essertier/Elsa Lunghini) Comme le tranchant des lames Les nuits te font mal et se collent à ton corps. Tu n'es pas née sous la meilleure étoile Mais le jour est là, le ciel est aussi beau que cette photo Que j'ai toujours près de moi quand je dors. Le pire ne sera jamais à venir, tant que je vis encore. Le meilleur de toi, c'est tout, défends tes atouts de verre. Le meilleur de moi, c'est nous et jusqu'au bout du désert... La pluie sera fine, sur ta mémoire, sache que l'avenir est sans faille. Le pa**é se perd dans la grandeur des villes Et reste un détail, l'envers est aussi beau que cette photo Que j'ai toujours près de moi quand je dors.
Le pire ne sera jamais à venir tant que je vis encore. Le meilleur de toi, c'est tout, défends tes atouts de verre. Le meilleur de moi, c'est nous et jusqu'au bout du désert... Le meilleur de la vie, c'est que le monde t'aime Tant que tu colles à ton corps et je t'aimerais sans aucun effort. Pour que tu en veuilles encore, le ciel est aussi beau que cette photo Que j'ai toujours près de moi quand je dors. Le pire ne sera jamais à venir tant que je vis encore. Le meilleur de toi, c'est tout, défends tes atouts de verre. Le meilleur de moi, c'est nous et jusqu'au bout du désert...