Tu dors, happé par des rêves
Où elles t´offrent sans remords
Le sucre, la sève
Mais sans ce coeur...qui bat
Se bat...contre toi
Tu dors, et nulle conscience
Ne saura t´éveiller
Pas son mal en silence
Qui tâche l´oreiller...tu l´as
Déjà...presque oubliée
A celle, qui a perdu l´estime
Pour elle même qu´on abîme
Parce qu´elle est la femme d´une vie
A celle, dont la fierté rend l´âme
Pour un fantasme d´homme
Qui lui a dit