7-8, dix-huit, en 2-0-0-8
Certains me reconnaissent...
7-8, dix-huit
Certains se reconnaissent...
[Couplet 1]
Qui veut prétendre au titre
Avoine dans la gueule, pa**e au travers d'une vitre
Des litres entiers de lettres sorties d'l'encre
Du premier d'tous les cancres
Des paroles aux actes, la balle n'est pas au centre
La partie civile se chie dessus, mon style fait mal au ventre
La vérité en face porte mes empreintes digitales
Une castration chimique pour les parties génitales
Les petits chanteurs comiques qui jouent avec le feu
Qui prennent ma musique pour une aire de jeu
Leurs mères se mangent des queues
Fils de te-traî, c**aïnomanes qui s'mettent des longueurs de trait
Des kilomètres dans l'zen de Paris à Sydney
Pour aboyer autant, demande à Bouneau
Qui donne son cul à la SPA comme Brigitte Bardot
Nous sommes l'honneur du rap sain et sauf, mon soce
Même sous la déflagration d'la carabine d'un beauf
Y a-t-il des bons et des mauvais keufs
Mes seufs, j'te laisse la nuance des mots
Poto, laisse-moi la responsabilité d'mes propos
[Refrain (*4)]
Certains se reconnaissent en mes cojones
Certains se reconnaîtront mais juste le temps qu'ils s'y mettent
[Couplet 2]
J'n'ai pas bougé d'un iota, déplacé d'une yeuk
La Rumeur dit qu'le rap perd ses couilles
La protéine, poto, ne protège pas des douilles
Je sais qu'mon album est attendu
Comme le service minimum chez les lardus
Le ton un cran au-dessus, forcé de l'reconnaître
Tes critiques sur ma musique trop synthétique, tu sauras où t'les mettre
Toute ma salive sécrète toutes les promesses d'une guerre secrète
Entre les poucaves, les salopes d'un côté
Et nous en train d'les déculotter
Avant d'les savater
Avant d'les séquestrer
Pour qu'ils comprennent la réalité
[Refrain]