Puisqu'il nous faut attendre que le ciel se découvre
Puisque notre étoile brûle juste devant nous
Puisqu'il ne reste que l'espoir et quelques souvenirs
Désolé je n'ai pas su faire, je n'ai rien su te dire
Puisqu'il nous faut partir alors que tout est vert
Prendre la route sans toi, retrouver l'hiver
Comme on vit, comme on crève, et comme on doute
Comme certaines fois tout s'achève avant même d'éclore.
Et le vent s'est levé au moment de s'y croire
Tout s'est mis à vaciller, enflammer le mirage.
Ce sont tes cheveux que j'embra**e et tes mains que je serre
C'est tout ton corps que j'enlace dans chacun de mes vers
C'est ton absence qui m'emporte chaque nuit, en pensant à toi
Comme on vit, comme on crève, et comme on doute
Comme certaines fois tout s'achève avant même d'éclore.
Et le vent s'est levé au moment de s'y croire
Tout s'est mis à vaciller, enflammer le mirage.
Sûr que j'irai courir dans d'autres printemps
Sûr que j'entendrai tes rire de temps en temps
Comment veut-tu que je te dise comme tout peut basculer
Il suffit parfois d'un instant, d'un instant pour tout gâcher.
Et le vent s'est levé au moment de s'y croire
Tout s'est mis à vaciller, enflammer le mirage.
Et nos routes ont dévié, au moment de s'y croire
Le doute s'est mis à trembler, en ruinant nos espoirs.
(Merci à Samantah pour cettes paroles)