Ce garçon croisé par la fenêtre
L'aimante soudain comme une bète
Le jour sous le charme de cette silhouette titubante
Decepant indé semparè qui force
L'empathie un brin ma la decoincé livide suintant
Meurtri ses hésitation s'empruntées l'appâtent de fait
Le soir lovée dans ses draps
Entre les cuisses ses doigts
Flirtent sur les plis cotonneux et froissés
Entre ses genoux se figent ses poignets
Serrés comme son coeur lacéré
À bout de bras maintenus pour toujours écartés
Appâtée sous cet arbre dans le silence
Apaisée par la chaleur qui règne sous ces branches
Mêlée aux odeurs veloutées
D'herbe et de terre fraiche qui cèdent sous l'eurs pieds
Elle se sur prend à lister des plaisirs long temps délaissés
Sur le lit de feuilles au creux du quel ils se sont abandonés
Sur ses lèvres se lisents ses hésitations
Dans sa salive se répand le goût de l'humiliation
Fuyant maladroitement cette langue dure et putride
Téta a nisée sur cette terre soudain froide et humide
Le sang coule et gonfle
Les veines de ses doigts crispés
Les larmes couvrent ses joues
Et ses ongles en sanglantés
Ses paupières se ferment sur une romance avortée
Une bouteille à la mer qui vient de se fairé eventrer
Comme une soubrettes sous verre ayants ouffert de puis tant dannées
Une soubrette sous verre ayants souffert de puis tant d'années
Brisée comme le verre qui semble en ce moment la penetrer
Froide comme le fer qui dans un instant va la lacérer
Comme une proie apeurée à pleurer sous le joug de la haine
Une proie apeurée à pleurer sous le joug de la haine
Suppliée de taire l'horreur flagrante de cette scène
De pardoner cette erreur vivante et obscène
Deux mains opposèes des doigts croisés délétères
L'ombre des on ombrée levée dans la boue et la merde