A la frontière des ténèbres Là où l'aube n'est que le crépuscule Loin de tout fracas humain Proche des fjords gelés Miroir des rares lueurs J'admire le froid soleil
En continuelle perdition Aux abords de cette geôle Givrée, illimitée Là où les creva**es et les ronces Sont ensevelies D'une majestueuse nappe blanche