Faudra-t-il faire de longues prières,chanter des oraisons?
Faudra-t-il taire mes vaines colères pour dire ton nom?
Croiser le fer, hara**er mes nerfs pour baiser ton front
Souviens toi mes bras te serraient
Guette les, ces bras sans allier
Souviens toi comme ils t'enlaçaient
Remplis les de ce corps doré
Ils sont claires ces yeux qui se perdent, dans ton horizon
Ils sont fiers ces pas qui te cherchent, à perdre la raison
Dans mes artères coule une longue rivière me diras tu du fond
Me diras tu du fond
Dans ma luzerne se pose ta crinière
Des hordes, des talons, des galops de questions.
Souviens toi mes bras te serraient
Guette les, ces bras sans allier
Souviens toi comme ils t'enlaçaient
Remplis les de ce corps doré
Tombe les les ces lourds boucliers
Laisse les ces bras te serrer
Guette les ils sont tes alliers
Laisse les sans fin t'enlacer.