(Francis Christian Cabrel) - reprise de Francis Cabrel
Mon enfant, nue sur les galets, le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet, un diamant tombé d'un coffret
Seule la lumière pourrait défaire nos repères secrets
Où, mes doigts pris sur tes poignets
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai...
Et quoi que tu fa**es, l'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l'espace
Dans le moindre rêve où tu t'attardes
L'amour comme s'il en pleuvait, nu sur les galets...
Le ciel prétend qu'il te connaît, il est si beau, c'est sûrement vrai
Lui qui ne s'approche jamais, je l'ai vu pris dans tes filets
Le monde a tellement de regrets, tellement de choses qu'on promet
Une seule pour laquelle je suis faite
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai...
Et quoi que tu fa**es, l'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l'espace
Dans le moindre rêve où tu t'attardes
L'amour comme s'il en pleuvait, nu sur les galets...
On s'envolera du même quai, les yeux dans les mêmes reflets
Pour cette vie et celle d'après, tu s'ras mon unique projet
Je m'en irai poser tes portraits à tous les plafonds de tous les palais
Sur tous les murs que je trouverai, juste en-dessous, j'écrirai
Que seule la lumière pourrait... Et mes doigts pris sur tes poignets
Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai...