Ils versent un sourire pour mes larmes
Un silence quand je m'alarme
Un rire quand je me calme
Un soupire quand vient mon drame
Une prière pour que je me crame
Le souhait que je lâche les armes
Cet air qu'il me réclame
Sous terre qu'ils veulent mon âme
Tes mains tendus me regarde mais qu'attendent t-elle
Je crois qu'elle me retarde et me retiennent dans le seul bute que jamais trop d'elle je ne m'éloigne
Mais cet justice dont je rêve
Une main dans la mienne et qu'un ange vienne
Le temps j'y règne
Et trop souvent je crois que le malin veille
Et remplace les sentiments de la veille
Est-ce que je me trompe
Où est-ce que je me trompe sur la réponse que je crois être la bonne pour que mes déceptions s'estompent
Prouvez-moi que j'ai eu tord
De penser que j'ai vu tard
Le mal de l'homme et que le bon existe mais qu'il ?exave?
Pour il m'étonne
Non pas qu'il me toise
Mais qu'il me donne l'espoir de voir dans ce miroir
à mes côtés autre chose autour de moi que le noir
De mes idées sombres
Trop souvent les rêves s'en vont
Quand nos histoires de nos peines s'encombrent
Quand nos haines plongent dans des abysses sans fond
Quand s'enfoncent nos lueurs
Fondent nos lumières
Et se confondent
Que l'avenir semble foncé
Notre soleil loin d'un fond bleu
Mais même tout ceci ne parviendra pas à me faire oublier ceux que j'aime et j'aimais à jamais
Ils versent un sourire pour mes larmes
Un silence quand je m'alarme
Un rire quand je me calme
Un soupire quand vient mon drame
Une prière pour que je me crame
Le souhait que je lâche les armes
Cet air qu'il me réclame
Sous terre qu'ils veulent mon âme
Arrière à ces infâmes
Qu'ils soient des hommes ou femmes
Je garderais ma flamme
Brillante et sous mon charme
Même si le sort s'acharne
Mon combat reste brave
Aujourd'hui je vous témoigne mon amour et leurs hargnes
Ma vie n'est pas un bagne mais que ce qu'il y accompagne
Chaque jour mon respect gagne
Que chaque jour le respect je gagne
Que le destin épargne
Que ne se rencontrent pas nos montagnes
Et dans un sourire grave
Pour eux je verserais mes larmes
Et c'est un pied devant l'autre
Une lettre devant une lettre
Que se construisent nos fautes
Qui font qu'on les regrettent
Certains souvenirs il faudrait que je rejettent
Car trop crédule j'ai cru leurs valeurs
Pour qu'ils perdurent mais ils me brûlent
Et si près d'une
île paradisiaque devenue triste et déserte
Et sous des air?d'euse? ce n'est pas grave mes blessures saignent et restent ouvertes
Donnant
à ceux qui m'observaient la satisfaction que j'allais échouer
Concrétiser leurs mises en garde
Justifiée devant les plus chers de mes souhaits
Et les mines
Se réjouissent quand sous l'échec tes vœux s'évanouissent
Et tu ne reçois les fleurs que l'on t'offrait que le jour de tes obsèques
Que j'ai mal
Et j'ai eu mal
Mais enfin ont-ils seulement pris conscience que ceux qui m'ont fait le plus souffrir sont ceux en qui j'avais le plus confiance
Je regarde leurs visages
Vois qu'ils m'attendent au virage
Et me ravitaille dans les lignes droites ou les potes de longue date
Et dans un geste au ralenti et une détonation sourde saute une larme et s'écrase et retenti comme une charge puissante et lourde