On commence a espérer d'arrêter de vouloir
Se mettre du plomb dans le crane finir inerte sur un trottoir
Agrandir un bon coup pour enfin pa**er à autre chose
Se dire que la vie que nous menions n'avait pas autant d'équimoses
Mais rien ne reste inchangé tout dépérit peu à peu
Quand la magie d'autre fois n'est devenue que venimeuse
Le temps pa**e sans qu'on le rattrape puis la mort sera longue
Sans dire un mot dans le métro profite de tous ces monologues
Sans se connaitre on se supporte pour un trajet ou un destin
Tourne en rond dans nos maison dans la cuisine sera la faim
Des regrets que je recrée une soirée qui ne s'oublie pas
Une matinée a déprimée a cause d'un train qui s'en va
Sans même en être pa**ager on en devine le trajet
Dans la soute des souvenirs, les plus lourd ne s'en iront jamais
Il n'y a pas de juste milieu mais juste un milieu de vautour
Qui arpente les cloisons de la haine au lieu dans explorer les contours
Je pense de plus en plus souvent a partir
Laisser tout en plan derrière moi m'enfuir dans un dernier soupir
Recracher la la**itude d'une vie qu'on pourrait contourner
Pa**er d'un pa**ant a un enfant qui fut trop tôt détourné
L'humanité est un virus, sa propre maladie
Vite on pa**e en terminale pour le début de la fin de la vie
Et le pire, c'est qu'on gâche notre temps a se morfondre
Ne pas s'rendre compte que face a ça on ne pourra jamais rien répondre
J'avance de crise en crise la guerre est quotidienne
Parano je me triture titube transcende dans la peine
Daigne rester éveillé, je m'écroule sous la fatigue
Les dégoûts et les regrets valent-ils vraiment autant d'intrigue ?
Est-ce que tout ça vaut le cou ? a quoi bon se le suspendre
Ou simplement en prendre son retour quand on s'y laisse pendre
A vouloir trop désespérer, je crois que je me suis perdu
Dans une sombre allée un soir d'été j''ai abandonné ma vertu
Incapable de me sentir mieux, j'ne me force même plus a l'faire
Traumatisé de souvenirs que j'souhaite extraire avant d'abstraire
Déterminé a tout gâche sans pouvoir m'en empêcher
Il ne reste qu'une seule solution au désastre que je laisse propager
Mais si on ne se rattache qu'a ça tout devient trop facile
On atteint notre but avant les autres puis on pourrit comme un fossile
Y'a pas vraiment d'intérêt a rester glander ici
Si c'n'est qu'à former une famille perpétuer la même connerie
Je n'entends pas les autres souffrir c'est mon temps que j'dilapide
Tout est marqué sur leurs visages suffit de lire entre les rides
L'avenir d'une cicatrice c'est dans consumer son hôte
Qu'elle soit morale ou physique la mort sera notre antidote
Un décalage dans mon discours son auteur en est la source
Le sang coule sur mon reflet je n'sais plus qui à gagné la course
*2
J'me pensais plus intelligent, un peu au dessus d'la norme
Normal qu'j'sois si vite déçu je n'rentre pas dans l'uniforme
Indigent de sentiments mon cœur souffle d'un ennuie
Il soupire faces aux satire que provoque la jalousie
Je ne me sens pas de ce monde, la répétition me gène
Quand le cycle tourne au désastre se bouger n'en vaut pas la peine
On a**iste a notre destruction, on est bloqué dans un rêve
L'éveil sera la mort la lumière signera la trêve
Brève seront nos vie, hier est déjà finit
Demain n'annonce pas grand chose on se comble dans l'ennuie
Cette vie n'a pas vraiment de sens, a quoi bon en profiter
Se diriger sans le vouloir vers l'ultime fatalité
Ou juste vers sa propre tombe, en marche tout doucement
En comptant toutes les secondes qui nous sépare de l'isolement
Pour ne plus déprimer j'ai la solution
Il faut juste se préparer, à ne pas vivre la conclusion