Les yeux grands ouverts au creux de son lit
tu veilles sur elle et sur ce qu'elle t'a dit
quand les amlheurs s'en vont, le malheur revient
le grincement de la nuit tire à sa fin
serait-ce une fée, ou un coup d'épée dans l'eau
qui éclabousse ta vie et qui te détrempe les os
les mots qu'elle échappe résonnent au loin
tu retiens la main
pour une autre qui te laisse
y'a plus rien à faire quand c'est la mort qui te blesse
tu la rencontreras aussi dans un train
et tu l'inviteras à descendre en terre inconnue
si tu te retournes et t'arrêtes enfin
tu comprendras qu'elle ne partira plus
pour une autre qui te laisse
y'a plus rien à faire quand c'est la mort qui te blesse
(Merci à Laura pour cettes paroles)