Ca débute évidement comme dans une valse, une distinction mais C'est un mouvement perpétuel, l'impulsion d'un demi-soupir Lorsque vos premiers rêves vous disent que vous êtes à la traîne et que même hors du temps vous cherchez la justesse Lorsque les premiers silences finissent par se taire et que même cela ne puisse éteindre le conflictuel Lorsque notre cœur bat à la mesure des plus simples, une fois soumis à la vérité la plus humble Lorsque notre différence s'accorde à nous dire que c'est notre ressemblance avec tous qui nous fait grandir Lorsque l'on donne une voix aux victimes de l'Histoire, c'est un hommage rendu au grand peuple des espoirs Lorsque, pupitre à l'envers, ont fait semblant de lire la partition, c'est mentir sur ce qu'on sait, c'est fléchir face à l'oppression Lorsque les mots chantent juste à émouvoir le plus grand nombre et que la communauté pleure tout en sortant de la pénombre Lorsque les cœurs se cuivrent, les convictions bra**ent du vent, et ceux qui les émettent deviennent des juges en perpétuel jugement Lorsque nos refus se posent sur la portée du réel et qu'on discerne ce qui est et ce qui sera toujours à faire Lorsque l'on sait que notre pièce est une tentative d'évasion face à la muraille de la misère qui de part et d'autre corrompt Lorsque sur le retour la grande histoire mal sapé fanfaronne, les sinistres toujours à la page villipendent et déraisonnent Lorsque l'on garde le cap, même lorsque il ma**acre notre réputation pour a**urer qu'ils sont de croire qu'au fond nous avions mauvaises intentions Lorsque fatigué de transporter dans sa poitrine cette perpétuelle tension entre la beauté et la douleur, l'amour des hommes et l'incompréhensible de la création Lorsque l'orchestre ne peut être dirigé par aucun chef mais accepte néanmoins d'intégrer les rêves de chacun Lorsque le timbre de la voix s'éclaircit, le génie est toujours engendré par la sympathie Lorsque ce qui met en mouvement dans les bas-fonds s'origine, l'exaltation de la vie et l'ultime entreprise Lorsque vos premiers rêves vous disent que vous êtes à la traîne et que même hors du temps vous cherchez la justesse Lorsque les premiers silences finissent par se taire et que même cela ne puisse éteindre le conflictuel Lorsque notre cœur bat à la mesure des plus simples, une fois soumis à la vérité la plus humble Lorsque notre différence s'accorde à nous dire que c'est notre ressemblance avec tous qui nous fait grandir Lorsque l'on donne une voix aux victimes de l'Histoire, c'est un hommage rendu au grand peuple des espoirs Lorsque, pupitre à l'envers, ont fait semblant de lire la partition, c'est mentir sur ce qu'on sait, c'est fléchir face à l'oppression Lorsque les mots chantent juste à émouvoir le plus grand nombre et que la communauté pleure tout en sortant de la pénombre Lorsque les cœurs se cuivrent, les convictions bra**ent du vent, et ceux qui les émettent deviennent des juges en perpétuel jugement Lorsque nos refus se posent sur la portée du réel et qu'on discerne ce qui est et ce qui sera toujours à faire Lorsque l'on sait que notre pièce est une tentative d'évasion face à la muraille de la misère qui de part et d'autre corrompt Lorsque sur le retour la grande histoire mal sapé fanfaronne, les sinistres toujours à la page villipendent et déraisonnent Lorsque l'on garde le cap, même lorsque il ma**acre notre réputation pour a**urer qu'ils sont de croire qu'au fond nous avions mauvaises intentions Lorsque fatigué de transporter dans sa poitrine cette perpétuelle tension entre la beauté et la douleur, l'amour des hommes et l'incompréhensible de la création Stockholm ! Paroles rédigées et annotées par la communauté française de Rap Genius