Ma tante Marguerite avait dix ans de moins que ma mère et comptait par consequent vingt-six ans; mais comme elle avait vécu dans une tranquillité de coeur très profonde, elle était très bien conservée et semblait une jeune fille. Ma nudité semblait lui faire beaucoup d'impression, car chaque fois qu'elle me baignait, elle ne me parlait que d'une voix flûtée Une fois qu'elle m'avait fortement savonné et rincé, sa main frôla mon petit vit. Elle la retira brusquement, comme si elle avait touché un serpent. Je m'en apercus et lui dis avec un peu de dépit: “Gentille petite tante chérie, pourquoi ne laves-tu plus tout entier ton Roger?” Elle rougit beaucoup, et me dit d'une voix mal a**urée: “Mais je t'ai lavé tout entier!” “Allons donc, ma petite tante, lave aussi ma quéquette.” “Fi! le vilain garçon! Tu peux bien la laver toi-même.” “Non ma tante, je t'en prie lave-la toi-même. Je ne sais pas le faire comme toi.” “Oh! le polisson!” dit ma tante en souriant et, reprenant l'éponge, elle lava soigneusement mon vit et mes couilles “Viens, ma petite tante,” dis-je, “laisse-moi t'embra**er pour la peine que tu as été si gentille.” Et je l'embra**ai sur sa jolie bouche, rouge comme une cerise et ouverte sur de belles dents saines et appétissantes “C'est a**ez, Roger, tu n'es plus un petit garçon. Dorénavant, tu te baigneras seul.” “Oh non! ma petite tante, je t'en prie, pas seul. Tu dois me baigner. Quand c'est toi qui le fais ça me produit beaucoup plus de plaisir que lorsque c'est ma mère.” “Habille-toi, Roger!” “Sois gentille, ma tante, baigne-toi aussi une fois avec moi!” “Roger!” “Tante, si tu ne veux pas te baigner, je dirai à papa que tu as de nouveau pris ma quéquette en bouche.” Ma tante rougit brusquement. En effet, elle l'avait vraiment fait, mais seulement un moment. C'était un jour que je n'avais pas envie de me baigner. L'eau de la baignoire était trop froide et je m'étais sauvé dans ma chambre. Ma tante m'y avait suivi et, comme nous étions seuls, elle m'avait caressé et finalement avait pris mon petit vit en bouche où ses lèvres l'avaient serré un moment