[Intro] (x6) Calculer la vice [Couplet 1] Perturbé par la flaque de sang quand l'ambulance est la Calculer les armements des garnements abattus dans l'état Par le gouvernement, agir ouvertement, vendetta Prendre pétards, sous peine de mort et de soulèvement sans égal Vision de violence de meurtre et de l'immoral C'est dirt, t'as buté pour 100$, mon frère c'est du trafic d'organes Capter qu'une lame dans le bas du dos c'est vite fait est le bad La rue c'est pas le bureau pour dépayser les diables Calcule que les flic pigent sur la gueule des gamins de 12 piges avec leur petite bite C'est les niquer, respectable de sa propre condition humaine Mépriser les armes Calculer l'oxygène et laisser respirer les arbres Être équipé d'éclairage pour taba**er les noirs c'est détestable Paradoxe de combat chez les dérivés des squales La torture c'est bien courant, demande à Dracula En Transylvanie, si c'est pas pour ton cul, qu'ils aiguisaient les pals La prison ça punit pas, ça s'anéantit et c'est très grave Destinée de scélérat, proie exterminée si t'es baisable Matérialiste au point de pouvoir te buter pour des Ray Ban Assez fasciste et exécrable, ne pas avoir gavé d'amis est préférable La voie du Christ est impénétrable Et le poids du fisc fait très mal Et c'est pour ça que tu cries, et bien n'espère pas Reste [?] à estimer des femmes qui elles même se sentent déprimées des man Si périmées que leurs idées c'est à se demander si c'est mettable Cette jupe si c'est sheitan, c'est irrémédiable, si t'as du [change ?] Cette pute elle est déterminée à blesser les âmes Cette lutte c'est cause perdue, un espoir peut-être C'est déjà pas mal, ça peut faire hérisser les poils ou esquiver les Xanax Observe que tes enfants pillavent et fument, niquent v'la les murs Oui bah c'est dur Croit pas qu'ils ne piquent pas des thunes Peut paraitre pur puisqu'ils [?] pas d'études Et ça lui ca**e les burnes il a du sh** à vendre Il a été pris et c'est papa qu'a pris l'amende Quand t'as 3000 et des poussières, on en parle, on en parle Que de tho-my quand [la famine qui parle ?] On en parle pas mais t'étais ou hier connard L'amour c'est niquer, real-TV, vois en l'adultère un formidable spectacle Ta fille rêve d'un idéal [?], au milieu de violence qui fortement se propage Les jeunes trouvent succulents ces extraits d'égorgements sauvages Débordement, naufrage de notre politique, promoteur, v'la de la baume au coeur Ces fils de pute ne sont que des h*mothugs Colporteurs d'idées, racoleurs, basés sur le mode voleur Éloignés du code d'honneur Près du bourreau et de sa forte odeur L'apport de nos pleurs ne pèsera jamais dans une ville comme Bordeaux Qui a été vouée a l'export de nos sœurs Avec un borgne au peuple, on est mal barrés à la Berlusco' Belle culture, t'as beau tuer Victor il te reste Hugo Pour dire des vérités avec le même culot, tu restes perdu gros Tu stresses [?] cela te perturbe trop L'air d'une taupe t'ouvres pas les yeux Accepte la vérité, codée dans un langage moderne et aussi caverneux Il y a ceux qui crèvent on les oublie Il y a les Hutu, il y a les Tutsi, il y a les too cool, il y a les pourris Il y a les Mous Diouf, il y a les Voulzy Tous beaux, tous belles Foutaises de la gomina Ton nombril est peut-être la cible du prochain Hiroshima Ça craint quand-même de calculer le vice environnant Le mépris, le défi, le profit Mon esprit se déchire en pivotant Ottis Toole mangeait les humains à la moutarde Je connais les médias, en faire un film ça, ça vous tarde S'il y a vraiment une puissance divine qui nous observe Donne moi un espoir qu'il nous protège, que ça change et qu'il y ait un nouveau règne