Furax - Mauvais vent lyrics

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Furax - Mauvais vent lyrics

J'ai commencé à rapper entre des tchèques et des ritals Des chiens sans héritage, j'essaie mais l'échec est véritable Et forcément la drogue ça pèse, on en a jusqu'au cou Chacun son trou, chacun sa pelle, fous, on trouve ça juste trop cool Ça c'est le début de ma carrière, tu captes ? Je m'en bas les couilles de savoir pourquoi j'envoie ma ceinture à l'arrière du car La blanche a fraca**é des potes et si ma feuille l'est aussi C'est que mon stylo me sert qu'à fumer le crack à cette époque Je suis le bras ca**é des pauvres, la valeur d'un homme Je la connais mais gros j'ai pas a**ez d'épaules pour porter les malheurs d'un autre Pour écrire ce que j'ai écrit, un vrai con ferait l'affaire Avec la fièvre nous on se regarde maigrir, paraît qu'on fait la fête Un dernier tango dans les bras de l'ammo', l'public s'esquive Nique la vie mais dans les draps de la mort on sait plus qui baise qui C'est un mauvais vent qui m'amène sur scène et dans la salle Rimes amères, mon pe-ra saigne et tous ces gens-là l'savent Si j'ai coché les 7 péchés, si je les a**ume Oui, rien à cracher à l'évêché si Dieu les a su On m'a dit "Gueule pas ça", puis un accueil pa**able Bienvenue, t'installes pas mec on est que de pa**age Gros je suis en lévitation, attends c'est Réellement une tempête, moi je l'ai pris pour une invitation à danser Alors danse avec les mêmes rats, tour de la Terre Allez, ça mènera où ça mènera, tourne la tête Si j'ai coché les 7 péchés, si je les a**ume Oui, rien à cracher à l'évêché si Dieu les a su On m'a dit "Gueule pas ça", puis un accueil pa**able Bienvenue, t'installes pas mec on est que de pa**age Gros je suis en lévitation attends c'est Réellement une tempête, moi je l'ai pris pour une invitation à danser On m'a dit "Tu trouveras tout ça pérave ou ça t'plaira" Mais ce putain de mauvais vent qui souffle est rare, il pousse à pper-ra [Outro] Voilà... Ce type c'est moi, et sa vie c'est la mienne... Seulement aujourd'hui cette vie je la recommence. Je repars à zéro. Oui messieurs dames, aujourd'hui... je fais repartir le compteur