(Gaëtan Roussel) - reprise de Vanessa Paradis Il y a là la peinture, des oiseaux L'envergure qui luttent contre le vent Il y a là les bordures, les distances Ton allure quand tu marches juste devant Il y a là les fissures, fermées les serrures Comme envolés les cerfs-volants Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement Parfois, on regarde les choses telles qu'elles sont En se demandant pourquoi Parfois, on les regarde telles qu'elles pourraient être En se disant "pourquoi pas" Il y a la la la, si l'on prenait le temps, si l'on prenait le temps Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement Parfois, on regarde les choses telles qu'elles sont En se demandant pourquoi Parfois, on les regarde telles qu'elles pourraient être En se disant "pourquoi pas" Il y a là les mystères, le silence sous la mer qui luttent contre l'temps Il y a là les bordures, les distances Ton allure quand tu marches juste devant Il y a là les murmures, un soupir, l'aventure Comme emmêlés les cerfs-volants Il y a là la littérature, le manque d'élan, l'inertie, le mouvement Parfois, on regarde les choses telles qu'elles sont En se demandant pourquoi Parfois, on les regarde telles qu'elles pourraient être En se disant "pourquoi pas" Parfois, on regarde les choses telles qu'elles sont En se demandant pourquoi Parfois, on les regarde telles qu'elles pourraient être En se disant "pourquoi pas"