Fatbabs - #LRDSH lyrics

[Refrain] (x2) ¿Hola, qué tal, amigo? V'là l'retour du sombre héros Sortez les plateaux d'shooters, poto, pousse le son très haut Un big up aux vrais, un 'oigts-d' aux poulets dans la Mondeo On est venu pour finir saouls et foutre le souk dans vos préaux [Couplet] Quand j'pose, c'est carré, y'a même pas besoin de la lead et des backs mixés Pendant qu'ils s'fourrent les uns les autres, à s'filer l'hépatite C Ils chient là où ils mangent, ils taillent des pipes où ils habitent J'lâche mes phases avec l'efficacité d'Pippo Inzaghi Mes gars côtoient whisky et beuh, impossible de nier que C'est pas tous les jours qu'j'ai dans ma poche une paire de billets bleus J'me lève engourdi, fiévreux, j'aimerais être hardi et preux Mais, dès qu'j'arrive, je fais débat, un peu comme le pays hébreux Et j'dors que d'un œil, aux aguets comme un tas d'pères d'fille coquette Trop souvent déçu par les votres que je trouve sales, perfides, trop bêtes Amoureux des lettres, pas dans vos boîtes, saperlipopette Demande à Oxmo, le bar qu'je squatte s'appelle Lipopette C'est pour les jeunes qui kiffent fumette, tise, parler argotique Pisté par les narcotiques, fils, c'est pas de l'art gothique J'perds des batailles, des potes, des bastons, j'travaille et pose des tas d'sons J'fly high sous rhum et glaçons, canaille les mauvais garçons Pas d'paillette, MTP, c'est pas Las Vegas J'rappe, tous les yeux se tournent vers moi comme quand une 'ta**e-pé' pa**e J'débarque et tes gars s'effacent, j'déploie qu'des dégâts néfastes Les débats s'étalent, c'est vaste, et les camés pâles s'dévastent Mate leur rap de merde : le sale danger, c'est l'otite J'adore tartiner la prod' et lui balancer des low kicks Check les placements, j'rappe des parties quasi scientifiques Sûr de rien sauf qu'à vie j'resterai anti-raciste, anti-flic [Refrain] (x2) ¿Hola, qué tal, amigo? V'là l'retour du sombre héros Sortez les plateaux d'shooters, poto, pousse le son très haut Un big up aux vrais, un 'oigts-d' aux poulets dans la Mondeo On est venu pour finir saouls et foutre le souk dans vos préaux