Cyril Célestin - Yakamonéyé lyrics

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Cyril Célestin - Yakamonéyé lyrics

Qu'est ce qu'il faut faire Mais qu'est ce qu'il faut faire Mais qu'est ce qu'on peut faire Mais qu'est ce qu'il faut faire Mais qu'est ce qu'on peut faire Mais qu'est ce qu'il faut faire Mais qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter ? Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter là-haut ? Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter là-haut ? Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter l'autre ? Qu'est ce qu'il faut faire pour court-circuiter ? Que faire pour court-circuiter la conspiration Qui fait que comme d'habitude, je vis au fil des saisons Filin tendu en vue que le reve soit illusion Je les volerai bien pour de bon vos montagnes de millions Mais bon, il y a bien ma bagnole et mon chien Le biberon du bébé, le baby-sitter qui vient demain La bouffe, le loyer, la banque à rembourser Babylone, ma bien-aimée, c'est pour toi que je vais bosser Mais bon il y a bien cette chose que j'ai en moi Tu ne peux pas la toucher, il y a que moi qui la voit Vision virtuelle venant des vents les plus lointains Je suis vivant et en revant, je vois la vie comme elle vient Le reve commence Le reve commence Le reve commence Le reve commence Le reve commence Le reve commence Le reve reve reve reve ... Le reve commence, je m'en occuperai bien maman Pas de volant, les virages se négocient bien Bien, voila que maintenant, un voilier me prend Et c'est aux voiles dans le vent que je voyage à présent Je n'ai pas vu de violence Tu as eu de la chance ! Je n'ai pas vu de violence Sûrement pas en France ! Je n'ai pas vu de violence Tu as eu de la chance ! Je n'ai pas vu de violence Danse, danse, danse... Je n'ai pas vu de violence, de voitures, de villes Et c'est en France que je poursuis mon exil Je vis, je vois, j'oublie les imbéciles Et c'est là qu'au loin j'appercois une île YES!!! Très vite, je m'approche, sur l'eau je ricoche et POF J'aterris devant le sourire d'un mioche Dans sa main, un morceau de brioche A coté de lui, un chien qui renifle ses poches Ici, tout est bien, c'est meme mieux qu'au cinoche L'air qu'on respire est sain, personne ne roule en Porsche On est chez quelqu'un que je sais apprécier Il est dans mes reves depuis des dizaines d'années On est chez mon frère Celui qui jamais nous envie Celui qui aime la terre, l'eau Qui a les enfants pour amis Lui, il sait se taire, on écoute ce qu'il dit Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n'apparait le mépris L'humour est son petit frère, l'amour son ainé Son nom représente la Terre, il s'appelle Yakamonéyé Chez Yakamonéyé, nan-nan, il y a pas de monnaie Il y a pas de barbelés, nan-nan, pour t'empecher d'entrer Il y a pas mal de mouflets chez Yakamonéyé Un peu de sinsé beaucoup de liberté Mais qu'est ce qu'on va manger, pour le moment Qu'est ce qu'on va planter ? Il y a pas de quoi s'inquièter, nan-nan, chez Yakamonéyé Il y a pas de monnaie chez Yakamonéyé Il y a pas mal de mouflets, et c'est bien, les mouflets Je reve, oh, je reve, oh oui je reve Je ne fais que ca mon frère, tu vois Je reve, oh oui je reve, je reve, je reve Je reve, je reve, je reve, je reve Emmène-nous avec toi ! Je reve, oh oui mon frère, et ca vaut tous mes mois de salaire A coté du repaire où je mène une vie pépère Je libère le monde amer et meme si j'y reste fier J'aurais du mal à refaire tout ce qui va de travers Alors je traverse les océans pour trouver ce monde d'enfants Foncant, foncant comme un dément vers ces gens plus cléments J'y reste quelque temps, tant que je peux y rester Et quand le réveil sonne, j'ai l'énergie pour lutter Car j'ai été chez mon frère Celui qui jamais ne nous envie Celui qui aime la terre, l'eau Qui a les enfants pour amis, lui, il sait se taire On écoute ce qu'il dit Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n'apparait le mépris L'humour est son petit frère, l'amour son ainé Son nom représente la Terre, il s'appelle Yakamonéyé Chez Yakamonéyé, nan-nan, il y a pas de monnaie Il y a pas de barbelés, nan-nan, pour t'empecher d'entrer Il y a pas mal de mouflets chez Yakamonéyé Un peu de sinsé beaucoup de liberté Mais qu'est ce qu'on va manger, pour le moment Qu'est ce qu'on va planter ? Il y a pas de quoi s'inquièter, nan-nan, chez Yakamonéyé Il y a pas de barbelés chez Yakamonéyé, il y a pas mal de mouflets Et c'est bien, les mouflets Faut rever ! Je reve, oh oui mon frère, et ca vaut tous mes mois de salaire A coté du repaire où je mène une vie pépère Je libère le monde amer et meme si j'y reste fier J'aurais du mal à refaire tout ce qui va de travers Alors je traverse les océans pour trouver ce monde d'enfants Foncant, foncant comme un dément vers ces gens plus cléments J'y reste quelque temps, tant que je peux y rester Et quand le réveil sonne, j'ai l'énergie pour lutter Car j'ai été chez mon frère, celui qui jamais ne nous envie Celui qui aime la terre, l'eau Qui a les enfants pour amis Lui, il sait se taire, on écoute ce qu'il dit Car jamais, jamais, jamais de sa bouche n'apparait le mépris L'humour est son petit frère, l'amour son ainé Son nom représente la Terre, il s'appelle Yakamonéyé Chez Yakamonéyé, nan-nan, il y a pas de monnaie Il y a pas de barbelés, nan-nan, pour t'empecher d'entrer Il y a pas mal de mouflets chez Yakamonéyé Un peu de sinsé beaucoup de liberté Mais qu'est ce qu'on va manger, pour le moment Qu'est ce qu'on va planter ? Il y a pas de quoi s'inquièter, nan-nan, chez Yakamonéyé Il y a pas de monnaie, il y a pas de monnaie, il y a pas de monnaie...