Cross-y - Tuer le temps lyrics

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Cross-y - Tuer le temps lyrics

[Intro : T.I.S] Ce que je veux, c'est tuer l'temps Ce que je veux, c'est tuer l'temps Ce que je veux, c'est tuer l'temps Ce que je veux, c'est tuer l'temps [Couplet 1 : T.I.S] Yo, voilà comme j'aime tuer l'temps actuellement, souvent textuellement Un beatmaker m'invite pour faire un hit, c'est là qu'le duel prend Entre moi et la feuille sur laquelle j'dois annuler l'blanc Tout est calculé pour que j'puisse bien effectuer l'plan L'ambiance, la température ambiante monte graduellement Et j'pense que ça pourra pas durer continuellement Car j'aime aussi rester cool, posé devant un match de basket Ou de catch, ou sur la Nintendo DS à tester l'foot J'aime les fast-foods avec les potes, les ca**e-croûtes D'un week-end à l'autre, c'est juste, on recommence, on efface tout J'mène un combat d'titan avec le temps, j'suis Asloum Un compétiteur de talent, mais prend son temps au last round Qu'la vie, hélas, goome mais j'la kiffe à la seconde où la menace tombe J'ai mille façons de tuer l'temps depuis la school Avec ma go, avec mes gars, la montre, on la secoue Et j'laisse couler le son dans l'casque ou dans l'poste au cas où... [Refrain : T.I.S & Nehr] Tu voudrais tuer l'temps, tu peux jouer ton cash Fumer ton hasch', mais il existe d'autres moyens pour n'pas être en cage Ou être otage, si tu veux tuer l'temps, on a le double H On t'ouvre une agence dans ta ville, on t'offre la chance de ta vie juste au cas où Tu voudrais tuer l'temps, tu peux jouer ton cash Fumer ton hasch', mais il existe d'autres moyens pour n'pas être en cage Ou être otage, si tu veux tuer l'temps, on a le double H On t'ouvre une agence dans ta ville, on t'offre la chance de ta vie [Couplet 2 : Nehr] Yo, le temps me tance, s'élance, et mène la danse, me lance des défis Il séquence mes tranches de vie et, moi, j'me laisse aller à penser J'ai l'insolence et l'a**onance faciles, j'avance avec l'allant Et l'indolence d'un type pas pressé, pas stressé J'ai la chance d'arpenter la vie avide de liberté Et, tel un rêve intense insensé, j'ai les sens encensés En chantier, j'avance en dents d'scie dans l'immense élan Si lent silence du temps arrêté, pas dératé, j'gratte des raps Le papier grave éreinté par les rats des blases, et j'aime m'évader Tuer l'temps et flâner, m'laisser aller et m'écarter Des chemins tout tracés, dévaler les vallées, avaler des kilomètres Au son des paliers, déballer les aventures, partager Dégager de toute contrainte et marcher à l'allure D'une montre arrêtée par une rencontre, et à l'encontre des règles Mes parents contents vont m'enfoncer dans un monde moins triste et sombre Que celui qu'on nous montre, j'ai besoin d'espace en fin de compte [Refrain : T.I.S & Nehr] Tu peux jouer ton cash Fumer ton hasch', mais il existe d'autres moyens pour n'pas être en cage Ou être otage, si tu veux tuer l'temps, on a le double H On t'ouvre une agence dans ta ville, on t'offre la chance de ta vie juste au cas où Tu voudrais tuer l'temps, tu peux jouer ton cash Fumer ton hasch', mais il existe d'autres moyens pour n'pas être en cage Ou être otage, si tu veux tuer l'temps, on a le double H On t'ouvre une agence dans ta ville, on t'offre la chance de ta vie [Couplet 3 : Deklin] Tu sais, quand j'te dis qu'j'ai fait une pause, c'est que l'temps j'prends Je le mets dans la poche, il disparaît comme par enchantement À tue-tête, j'prends chaque seconde, chaque minute Comme une saveur, et arbore ce plaisir loin du labeur C'est dans ces moments que chaque phrasé s'élabore À l'abri des [XXX], tous mes extrêmes sont décidés Débridé d'mes aigreurs, mes mots sont des sourires Et même les pires qui ont pour but de tout pourrir Dépourvu tel une [XXX] qui décline une phrase, après phase En préface de ce texte, un pamphlet de mon profil Sapiens quand le [XXX] Deklin pour les intimes J'manie les goûts, manie les rimes au stade de l'écriture fine Pas d'surfait ni d'surplus, j'peaufine, pas d'déjà vu Patte de velours, la sens-tu ? [?Ma griffe?] comme l'un d'mes coussins Quatorze, quinze mesures, le temps est toujours dans ma poche L'entends-tu ? L'approche d'un seizième, il se sera tu