Cinquième Kolonne - Nuits sans ivresse lyrics

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Cinquième Kolonne - Nuits sans ivresse lyrics

On cherche à combler ses envies, que le vide se remplisse S'écoule visible comme la violence quand le sang pisse Spliff, spleen, tise, surface plane dans le cœur Manque d'estime trop de querelles intestines Victime, papillon braqué par une lumière diffuse Cherche le refuge la nuit la solitude se refuse Qui pourrait croire qu'il s'y complaît ? Qui croit narguer la vie ? Avant que le croque-mort arrive et nous taille son complet Couplets, strophes, rimes, voués à cet élan C'est tout ce que j'offre avant la délivrance et putain ce que c'est long Le goudron, opium de mon peuple, mentalité de morlock Chacun se sent concerné par son interne horloge On se forge une épaisse carapace à chaque pet' qui crépite Je répète les mêmes trucs, ya plus que ça qui t'excite ? J'existe en dehors de mes récits, résiste et frôle l'hérésie J'apprécie quand la résine crame et rend l'esprit moins précis [Refrain] Je crame mes nuits sous ivresse, perché sur mon Everest Les rêves restent et percent les carapaces épaisses Apaisé par la nuit qui me berce Poumons encombrés, j'regarde le ciel tomber sur Mes suis sans ivresse, sur mon Everest Les rêves restent et percent les carapaces épaisses Apaisé par la nuit qui me berce Poumons encombrés, j'regarde le ciel tomber Strip-tease de l'âme sur rythmique sur rythmique Solitaire devant une foule statique, juste un gimmick de type triste C'est factice, douter même de l'amour ça laisse un goût amer qui reste après un 'je t'aime' sur un lit de mort La mer se retire, te laisse seul sur la plage à reconstruire des rêves avec des ruines de château de sable La vie c'est quoi ? Un bruit de faïence éclatée sur le sol Fragment dévié, là où les mères apprennent à vivre seules La vie me la**e, les filles me larguent, pour les cordes de mon cœur trop de tranchantes fines lames Le mélodrame nargue et horripile l'âme Dans le fond je ne suis qu'un cancre mis à l'écart de sa cla**e Ça me blase, connaître le manque malgré une vie de rêve, ça glace La grâce je ne l'attends pas pour toutes mes conneries Ce que j'ai fait ou ce que j'ai dit, je veux qu'on le comprenne qu'on me jette plus le discrédit J'édite ma vie sur la ne-scé ou disques pressés Chacun son avis, mais ce que j'écris seul moi peu le rabaisser Je crame mes nuits sous ivresse, perché sur mon Everest Les rêves restent et percent les carapaces épaisses Apaisé par la nuit qui me berce Paupières encombrées, j'regarde le ciel tomber sur Mes suis sans ivresse, sur mon Everest Les rêves restent et percent les carapaces épaisses Apaisé par la nuit qui me berce Paupières encombrées, j'regarde le ciel tomber Le froid du chrome sur la tempe, non je manque de trempe, mon vice est l'attente La tristesse comme amante, les larmes du clown son latentes Les larmes de clous rendent croyantes les ma**es de l'existence déçues Des déchus le chantre je n'ai su en accepter l'issu J'ai su ce que l'on me réservait ce à l'âge de 14 ans Chute scolaire observée, pensées morbides, le caveau se creusant Osant le conter, je pensais que tout ça disparaîtrait Spleen indompté, mon être hère, s'étreint mais connaît la détresse Est-ce pour ça que je me détruis, trop de te-shi et de vodka Le malsain me fut instruit de la poignée de main à la podka En tout cas, faut que ça émane, que ça soit en explosant le Numan Un pète, une dose de mic, quand je me défonce y'a pas de « Yeah Man ! » Y'a rien de cool à ça, la corde coulisse et sur mon coup je la sens Chaque instant un larcin pour les protagonistes blessant Alcoolique naissant, le suicide monte en puissance Mon être se nourri de cendre, voilà ce que mon monde encense Je crache mes nuits sans ivresse, perché sur mon Everest Les rêves restent et percent les carapaces épaisses Apaisé par la nuit qui me berce, la gorge encombrée je regarde le ciel tomber sur Mes nuits sans ivresse, perché sur mon Everest Les rêves restent et percent les carapaces épaisses Apaisé par la nuit qui me berce La gorge encombrée, je regarde le ciel tomber