Cenza - Un trou noir dans un gant blanc lyrics

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Cenza - Un trou noir dans un gant blanc lyrics

Un trou noir dans mon esprit, trou noir dans l'rap français Si j'avais une rime chaque fois que je pensais J'arrive plus a faire semblant Un trou noir dans un gant blanc Le regard vidé, une âme flotte au dessus d'un corps liquidé Me rappelant que même moi je vais aussi l'quitter Absorbe dans tout ce qui touche à l'absurdité La vie s'en va aussi vite qu'elle vient j'suis à court d'idée Les yeux humectés, mes joues transpirent l'humidité L'humilité subtilisée par des rêves bien plus stylisés Il faut montrer beaucoup à un homme pour qu'il ouvre les yeux Couvres les mieux, croyant attendre que Dieu lui ouvre les yeux Un jour un homme m'a dit j'partirais avant vous Qui suis-je, mon écriture penche des deux cotés comme un savant fou Avec ce même sourire retrouvé Celui qui voudra faire le dur pourra prendre ses couilles et les bouffer La larme tombée sur ma feuille hydrate mon stylo Les frères de la secte me diront que ce texte est michto J'ai toujours rien trouver pour calmer ma haine Cherche en vain, cherche enfin J'me plains avant la fin du début Broyer du noir, noyé dans l'desespoir Qu'es ce que tu croyais connard, j'rap pas pour t'faire chialer, je l'ai déjà fait pour toi J'insulte, j'suis toujours dans l'conflit Même sur ma feuille, même quand mon écriture s'arrondit Surtout sur ma veuille, face à moi même On apprend pas tout seul, on apprend avec soit même J'ai peur d'apprendre sur moi parce que je me connais C'est plus facile de prendre la vie que de la donner J'en perds tout sentiment pourtant j'suis plein d'émotions Pour être plus pertinent, les sédiments sont en érosions J'veux plus faire crari, non plus rien a foutre de tout Pa**er pour un enculer m'irait bien Je m'a**ois, restez tous debout Regarde tous ces trimards, surement qu'un d'ces trimards me regarde en ce disant regarde ce trimard Plus tu donne plus ça donne envie de rien donner T'façon j'ai bonne conscience, t'inquiète, j'me suis pardonné J'ai peu être pas plus de vécu qu'un autre En fin d'compte toutes ces banaves sortent avec menottes J'dégueule des litres d'encres pourpres ? Des livres, l'entre deux lettres, penché sur une lettre quand ils se courbent ? J'ai la gorge nouée, gonflé j'les laisse vanter d'voir les frères tomber Même quand c'est pas vrai, on l'sait Un clin d'oeil vers le ciel me remet les pieds sur terre Les blessures se ferment mais j'garde les cicatrices de l'espèce humaine Comment ne pas se vomir dessus, sans retenue, t'as vu Regardes ma race la pute, celle qui s'entretue Le trou noir sous les pieds ou au bout d'une trajectoire J'vois s'éloigner la sagesse de la raison que ma rage sépare Le sang coule a flot dans mes veines De plus mon coeur bat, déploie sa couleur corbeau sans ses ailes Vivre devient un manque de respect J'ai honte de c'monde, ma gueule on vit dans l'excès N'importe qui te laisserais, t'attends que j'revomisse Une vie remplacée par des chiffres, j'entends même plus les sirènes de la police La craie blanche trace la silhouette Chacun la sienne dans sa main J'regarde ou va le vent comme une girouette Un vide se crée dans l'peu d'beauté qu'il reste Tombe dans un cercle sombre Transperce la chair et ses petits secrets A deux traits de péter un plomb J'rêve de buter un homme Ba c'est celui que ce putain de miroir n'arrête pas de me cacher Et d'ca**er les chaine que j'ai moi même soudées J'me ressers avant la fin du vers , j'arrive même plus à désaouler J'ai pas la clef du bonheur, j'ai qu'un clou planté Me balader moi et mon clan, ça m'aide à me concentrer Tu sais, rien à changer depuis le trou noir, il a toujours été là Si je leurs disais que tu l'savais, ils me croirais même pas J'ai l'coeur sombre alors que tout devrais me satisfaire Les pires moments sont dans les meilleurs apparents d'la misère Ça fait des hauts, des bas, j'te fais pas d'schémas A sens unique, je fais tout de travers pour marcher droit J'suis à l'étroit dans mon corps, transporte mon gabarit 21 tonnes de haine qui donnent envie d'aller voir le paradis Les souvenir rebouchent le trou de verre Le temps de s'est pas arrêté pourtant, il continue même six pieds sous terre Aides moi mon ami, cette plume est la tienne J'ai fumé la mienne, à écumé la haine et bruler la scène J'cherche mon réconfort auprès d'une femme J'n'ai qu'une lame, on s'approche pas des affaires du diables avec une âme Certaines fois c'est elles qui viennent à nous Et c'est la qu'on aura plus le temps d'poser sur la table son vieil atout La feuille se craque, sous mes mots dérape, sur le moment je m'en remet pas Sur la vie des petits du mer, et même sur ma mère Pardon à elle si l'expression n'enlève pas l'respect L'amour des siens c'est précieux, j'ai les yeux qu'en témoignent exprès Un extrait d'une vie plongée dans un trou noir Un foulard aux yeux cache pas la lumière au bout du couloir Ils me diront, CenZ est incompréhensible, les cons m'ont pris en cible Ma manière d'amener les chose est toujours répréhensible Les souvenir font sourire mais maintenant mon rire est sombre La beauté dans toute sa splendeur à quitter ce monde Les leçon dl'a vie, la mort nous les apprends sans faire semblant Un trou noir dans un gant blanc