C'est tout comme... C'est tout comme... C'est tout comme mais ce n'est pas... C'est comme s'il se se pavanait sur moi... Les terribles odeurs de tes actes indécents... Mais ces parfum-là... Humides et torrides... Ne vivent que de nuit... Au fil de mes nostalgies... Je te nomme... Je te nomme... Je te ne nomme et -?- Mais tu n'es presque rien pour moi... Quand seul compte les absentes voix... Leur silence me tend la peau... Du nombril jusqu'au bas du dos... Et je tremble de les achever... Et de ta chair me venger... Le soir je dégringole souvent... À la renverse -?- perverse... Où gambade mon désir... Et s'évade mon sourire... Tant de femmes nues sur mon corps... Souvent tenues d'une gauche main... C'est ton souffle qui les retient... De me mettre à mort...