GRANDGIL : Ca suffit, j'en sais déjà d'trop ! Non mais regarde-moi le mignon avec sa face d'alcoolique et sa viande grise... Avec du mou partout... Du mou, du mou, rien que du mou... Mais tu vas pas changer de gueule un jour toi non ? Et l'autre, la rombière, la gueule en gélatine et saindoux. Trois mentons et les nichons qui dévalent sur la brioche... Cinquante ans chacun, cent ans pour le lot... Cent ans de conneries ! MARCEL MARTIN : Où est-ce qu'il va chercher tout ça ?... GRANDGIL : Mais qu'est-ce que vous êtes venus faire sur Terre nom de Dieu, vous n'avez pas honte d'exister ? Hein ? LE BARMAN : Mais je... GRANDGIL : Tais-toi ! Tais-toi ! [...] GRANDGIL : Regarde-les tiens ! Ils bougent même plus ! Et après ça ils iront aboyer contre le marché noir... Salauds d'pauvres ! Et vous là, affreux ! Je vous ignore, je vous cha**e de ma mémoire ! J'vous balaie ! MARCEL MARTIN : Affreux !