Ne souris pas, Tony Ecoute-moi Ne souris pas, Tony Rappelle-toi Il y avait des lilas blancs De l'inévitable Nogent Il y avait des ciels si bleus Inévitablement dans nos yeux Et puis aussi de ban*les chansons Qui jaillissaient des accordéons Et notre amour qui tournoyait Sous l'inévitable mois de mai Ne souris pas, Tony Rappelle-toi Ne souris pas, Tony Ecoute-moi Il y a eu les jours d'erreur Qui pleuvaient sur notre bonheur Il y a eu la faim, le froid Notre amour n'a pas supporté ça Et puis toujours, ces ban*les chansons Les mêmes pourtant mais plus dans le même ton Et la vie qui pa**ait, pa**ait Effeuillant les roses de mai Ne souris pas, Tony Ecoute-moi Ne souris pas, Tony Rappelle-toi Maintenant, il n'y a plus rien Plus d'orage, plus de froid, plus de faim Il n'y a que ton journal Notre ronron, mes soupirs, ce petit bal Où malgré tout de ban*les chansons Vont s'émiettant d'un accordéon Et notre amour doré, doré En photo sur la cheminée Ne souris pas, Tony Rappelle-toi Il y avait des lilas blancs Des ciels si bleus Et des chansons et des chansons Jaillissant des accordéons Ne souris pas, Tony Regarde moi...