Dans les gouffres infinis de notre incohérence Dans le feu oublié de nos démons pa**és J'ai vu un jour nouveau se lever Où tout n'était plus que monde déshérité Le dieu ne se soucie guère des croyances usurpées Dont se nourrissent parfois les esprits tourmentés Les déesses quant à elles ont été spoliées Ô déesse! Enseigne moi de tes corps la jouissance infinie - Afin qu'à chaque fois Par la Chair je communique avec toi - Brûlant notre sang, liquéfiant notre chair Les vies sont devenus rêves Et les rêves, de tristes pensées... Pleure, pleure le bonheur et son heure!