Shadows in the darkness with expressionless faces
These messengers are the ghosts of sadness
Lost in their quest on a land of loneliness surrounded by a sea of emptiness
Then a cloud-freezing breeze carries away fragrances
Of anguish which fill a scarlet sky, and even harm the trees
From the roots through the trunk to the tip of their leaves
Bleeding of the terrestrial fur under the blow of this untameable element
Bleeding of the terrestrial fur under the blow
Aussi chaleureux qu'un morceau de vache froide dans un frigo
Je perce la toile de l'existence. Je décolle enfin de mon îlot
Plus solitaire que Robinson, ni vendredi ni aucun autre jour
N'égaient plus mon quotidien. C'est fini, et ce depuis que j'ai vu
L'individu Lambda barboter dans son milieu matériel feutré
Filtrant l'information jusqu'à ne plus supporter ce qui le dépa**e
Donc, à l'inverse de la lumière, ne se propage pas dans le vide
Moi, c'est au-delà du spectre visible que je réside
Je suis l'animal nocturne, taciturne
Maître dans la détection des sources de chaleur :
Je sais quand un cœur bat la chamade ou reste de marbre
Mais de toute façon, même sans ma vision infrarouge
Il m'est donné de voir que l'âme du peuple
Est de plus en plus malléable, à coups de Pop, à coups de piètres fables
Niaisement contées par les speakerines dans les speakers…
Il est en position de réflexion, a**is en tailleur sur le sommet de sa montagne
De son corps émane de l'énergie, quasi palpable, qui jamais ne fane
Le vitrifie le rendant imperméable
Il oublie son âge dès qu'il ouvre l'ouvrage, dès qu'il tourne les pages
Calligraphies et lettrages complexes. Ses textes l'identifient :
L'hérétique introverti s'introduit dans les affres de son esprit trituré…
Hystérie, frénésie collective ! C'est un appel au gros pétage de plomb !
(Merci à Vicking pour cettes paroles)