J'ai toujours gardé mes valeurs, j'ai vu des gens sombrer dans le malheur et se sentir comme en apesanteur Comment en plaisanter quand la paix s'enterre j'ai marché plus de 100 heures essayer de voir d'autre vendeur de rêve je l'ai fait sans torts sans qu'on m'achève cela pousse à se taire, et écouter des heures des airs qui berce nos nerfs quand on sait que tout s'achète déverse tes merdes quand tout sa shoot on comprend vite que tout ça choque quand chaque choc te laisse le ventre vide sachez qu'à chaque texte je contredis tous mes échec et blesse mes autres titres, pendant que mes fautes restent et s'offrent au risque on conteste les grosse sottises mais on se déteste entre prototype et puis on tape le beat quand on sort aussi on se frotte au type qui recopie des autres au style des fois trop de spleen et on préfère voir nos amis qu'déprimer refaire nos avis avant que le soleil se met à briller on a le cœur et le cerveaux grillé l'impression que tout part en fumée comme dans un cendrier pas de cendrillon ce soir elle servira qu'à nous allumer On craque comme des allumette plat de patte sur la gazinière On blâme les phase d'hier Dans ce bal que des marionnettes Le spectacle des gens qui s'enterre l'obstacle c'est l'appât du gain On se barre quand une fille honnête tacle nos va et viens marque nos pas de bien difficile d'aimer quelqu'un quand c'est facile de saigner alors on se démène pour pas qu'avec le bad on se met à signer essayer d'éviter le vide vide quand on vie le vice c'est rude les ride nous guide quand on vise le but vite vite le temps défile file, au fil du temps les foule ne se fie qu'au file du fond certains filent vite et font office de pleins de mérites cache leurs fils de l'Amérique la rage se profile à l'horizon mais j'ai mes rimes rimes qui se dessine à ma raison et je décide ici de décimer toute ses cloisons je m'imagine une vie d'zonar plus loin qu'l'Arizona j'ai des racines qui ne sont que des machine qui sautent cela mes sens s'élèvent j'suis qu'un élève qui accélère quand l'aube se lève je dompte les lettres comme un Zola tous obsolète face à Solar, tous obséder pour être le premier du scénar, et tous juger dans ce sénat c'est là qu'on se raconte qu'c'est l'âme qui se noie dans les basfonds et qu'on veut changer les plafonds mais faudrait refaire les fondations. N'avoir que de la pa**ion sois pas naïf on a déjà fait des tentatives, à côté de ça des tentations tellement de tensions qui laisse des cicatrices Mais sache qu'ici on finis pas en psychiatrie on me dis que mon lexique attriste mais je parle de ce que je connais j'ai cherché une fratrie pour qu'on se connecte dans l'infanterie pour consolé quelque enfant triste entend leurs voix qui s'élèvent d'un ton triste, te dise qu'il ont compris que si on se relève pas personne viendras sonné et scellé tous leurs conflits fils pour ça que trente ans après tu les verras se noyer dans la tise difficile d'avoir de la maîtrise quand il n'y a que souffrances qui fleurit Dans le jardin voir d'autre fleur deviens un supplice alors on s'applique pour éviter les ratures qui nous afflige cette vie est factice mais faut que je tise pour oublier que d'autres avec le diable pactisent