Vivre dans les marécages obsédé par la chatte et le cash
Avancer dans l'obscurité jusqu'à ce que la faucheuse me clash
Si mon ennemi se re-manifeste, je m'occuperai de son cas
Les problèmes me suivent j'ai de la nétro-glycérine dans le çon-cal
Terra**er mes démons, mes veines me brûlent
Sentir la rage ter-mon, un fauve en rut qui arpente les rues
Bière brune, claire de lune, fine brume
Jeune fille prude, série de rime crue
Une prière, des rimes meurtrières, une crinière de feu
De la fumée toxique, une arme à feu, de la coke dans un stick
L'œil en direction de ma cible, irascible
Je vais faire des ravages j'ai le même poignard que Caravage
J'ai compris vite: ce sera écrire ou mourir
Satan m'invite pour un feat je me sens léger comme une seringue vide
On connaît le vice, la 86, les joints roulés
Soit prêt à reconstruire de tes mains ton édifice quand tout va s'écrouler
Je suis parti trop loin vous ne pourrez pas rattraper l'homme
Plus sensible que la gâchette de mon parabellum
Torpeur hivernal le temps d'un fluide éclair
Et l'eau de source attire mes idées claires
Sur les murs de ma cave, j'ai aiguisé le glaive
Qui trancha des gorges, lorsqu'au fond de la mienne résidait le glaire
Que j'ai craché dans le milieu du rap
Que des grandes gueules aussi bien-pensantes que Lilian Thuram
Dans la cabine avec une petite ta**' câline
Punchline humide, lubrique: didascalie
L'un après l'autre, mes démons enchaînent des grosses fle-gi
Dans la soufrière ma carca**e de buffle gît
Si il y a un gêne du vice alors c'est sûr je l'ai
T'inquiète pas la mort est un plat qui se mange surgelé
J'ai l'alcool destructeur, je me ca**e le front
Si je ne peux plus me venger, mes kamikazes le feront
Bienvenu dans l'arène, là ou les principes se troquent
Déambuler inquiet toujours en manque de la plus fameuse drogue
Lorsque l'amour s'est volatilisé
Le rap et la rue m'ont infantilisés
Du fluide séminal huileux déversé sur mes sappes
Jouir une dernière fois fonc-dé à la même codéine qu'ASAP
Les fins de mois difficile lorsque les frères se droguaient
Affiner ma stratégie de guerre au fin fond d'un troquet
Un œil sur tout le monde, je crains n'importe qui
Dans la ménagerie infâme le roi des porcs te guident
Pour arriver au bout il faudra que vous rampiez
Les diablesses lèchent mes orteils, l'enfer est sous la plante de mes grands pieds
Une obscur mais dense carrière l'une
Après l'autre mes danses, carrières, pleine lune
Brute épaisse, fine plume
Je suis un taureau en rut échappé des arènes de Pampelune