Avec des oiseaux plein les poches Et puis un claire de lune dans les yeux (Lune dans les yeux) En courbant le dos sur les roches Le jour s'étira encore un peu (Encore un peu) L'dg est cruel, frisquet sous les aisselles En fuyant vers le ciel, par devant ses semelles Au ton moelleux Avec des oiseaux plein les poches Et puis un claire de lune dans les yeux (Lune dans les yeux) Dans les yeux, dans les yeux, Dans les yeux, dans les yeux Pas besoin de chercher plus lois Ce qui se trouve déjà sur son chemin Pas besoin de trouver ailleurs Ce qui se cache dans le creux de ses heures Sa mémoire se meurt Il en oublie la peur Le temps est sous ses pas Pas besoin de jouer un jeu Ni d'avoir l'air heureux ou malheureux Pas besoin de voiler la douceur Qui t'rendent encore dans le creux de ses heures Sa mémoire se meurt Il en oublie la peur Le temps est sous ses pas Pas besoin de déguiser la vie En l'habillant avec des compromis
Pas besoin d'étouffer la douleur Qui vient rêver dans le creux de ses heures Sa mémoire se meurt Il en oublie la peur Le temps est sous ses pas Sous ses pas, sous ses pas Sous ses pas, sous ses pas Le cœur roulé dans la gazette Une poignée de vie en mallette Les âmes orphelines en lambeaux Sachant que faire de leur squelette Erre sur le bord de la tablette Et deviennent des pa**ereaux Partir pour l'île où l'on fini Heureux et fou et dans l'oublie Loin des lieux où l'soleil abonde Quand la connerie éclaire le monde L'esprit est cuit S'pa**er la lumière d'main à main Pour toffer jusqu'au lendemain En entendant le jour qui beugle Toutes ses pollutions culturelles Ces insanités visuelles À quoi donc rêvent les aveugles Aux pays des hommes mes amis Une petite flamme suffit Pour que notre esprit vagabonde Quand la connerie éclaire le monde L'esprit est cuit