Quand tes joues tremblent, ton courage faiblit Tu sais pu si ton ombre te suit Quand t'es inquiet, qu'ton chien a peur Quand y fait frette en pleine chaleurs Si tu sens frôler la folie des coucoudris Quand t'as l'feeling qu'des yeux t'épient Tu sens une présence qui t'envahit Que la noirceur devient moins noire Y-a comme un vide dans ta mémoire Tu es l'hote tout-à-fait choisi des coucoudris Quand les airances qui flottent la nuit Se crystalisent dans ton esprit Quand ta vision se fait plus nette
Quand l'illusion devient parfaite Tu es dès lors à la mercie des coucoudris Quand l'atmosphères, de spasmes, se remplie Et tes barrières sont allourdies Ta nature est toute pénétrée Les sépultures viennent te hanter Il n't'reste plus aucun répit, les coucoudris Quand les andouilles gargouilles de p'tits cris Dans l'fluide de tes insomnies Que les couleuvres de ta psychés Mettent toute en œuvre pour t'étouffer Tu n'es qu'un cadavre en sursis, (Les coucoudris vont te manger)