Sous les baobabs, j'ai vu des hommes comme toi et moi
Il y avait dans leur coeur les mêmes peines, les mêmes joies
Ils voulaient être libres, ne plus jamais voir pleurer leurs enfants
Sous les baobabs, j'ai vu des hommes tout simplement
Et dans leurs sourires, j'ai deviné leurs sentiments
Bien a**ez pour me dire qu'on n'était pas si différent
S'il faut qu'on se déchire
Je voudrais qu'on me dise
Au nom de qui au nom de quoi
Sous les baobabs, on n'aurait pas les mêmes droits
Il y a ceux que ça gêne, de regarder la peine
De tendre la main à ceux qui n'ont rien
Et ceux qui se ra**urent, qui voudraient être sûrs
Qu'il est trop tard, que nous n'y pouvons rien
Mais il faudra bien un jour se pa**er de beaux discours
S'arrêter de conquérir pour mieux comprendre
Car nous n'avons qu'une terre pour vivre ensemble
Tout simplement
Sous les baobabs, on s'est parlé tout simplement
Afin d'oublir tout les préjugés, les faux-semblants
Si on voulait seulement se regarder
Voir les choses autrement
Alors on pourrait être des hommes tout simplement