L'automne m'étonne toujours et résonne comme donne à l'homme qui laisse tomber ses feuilles et quand O tonne, c'est mouillage c'est l'orage c'est nouage à s'emmêler comme les vivaces empourprées et la montagne détrempée je ne sais par quel bout commencer pour m'effeuiller, je bafouille O tonne résonne O tonne autOmne L'automne détonne toujours et son grand vent silencieux
nous pousse à mourir un peu L'automne m'étonne toujours et siphonne par méga tonne étourdie par l'orgueil et quand O prône, c'est l'ouillage c'est l'orage c'est la rage éclaboussée sur nos visages violacés et ma montagne ébranlée je ne sait par quel bout commencer pour avancer je gadouille Le temps pa**e le temps trace et laisse son tic tac dans les flaques