[VERSE 1: Béhybé]
Fluide pourpre, putrides courbes, pleines d'urines, de foutres
Public sourd, tueries sous barbituriques, l'Ourthe et le can*l sont complices
Cannabis propice à l'oubli quand la dame noire accompli son office, gode dans l'orifice
an*l, les malades sont déguisés en costume cravate et s'attachent à des cadavres à titre
Posthume, palabres marxistes d'a**istés au sein d'un troquet raciste
Où le simple côtoie l'obscur ou le singe côtoie l'homme mûr. /8
Maman tranche 5 gorges, étrange syncope, humanité s'éveille
Mais a tranché ses veines, fluidifiées au Sintron, rêve de St Trop
Devant une vitrine de St trond, dentelles rouge et noir, goudron, sang se mélangent
Dans une fange dantesque, recouchez-moi, quand est-ce que…
Je pourrais voir d'immenses liesses au lieu de charniers sous d'immenses lia**es
b*atch désincarnées remuent au signal des internautes
Lynchage sur youtube et on te #lasergun même en terre neutre
[REFRAIN]
Douleurs en couleur/ rouge sang, /dans le blanc des yeux/
Les cieux noirs/, tous semblent /envieux et sournois,/
Ils noient/ chagrins dans goudron, houblon, le tromblon pas loin
En espérant que nos plaies se recoudront, ça ou rien
[Verse 2: Béhybé]
En rouge et noir, en dessous des lois civiles et divines
Si vils et si vides HUMAINS si les uns se signent, les imbéciles sont rois et récidivent
Dans les rouages ne cherche pas de récits dignes d'intérêt, juste un torrent d'ignorance
Inséré dans le crâne par disquette youtube, « ils disent que » dans cette locution ils puisent
Leur vérités, leurs doutes, des croûtes qu'on évite de gratter
Chui cet extrate...rrestre, rustre qui ne voient dans le bordeaux que l'ivresse de la violence
Dans le porto, la paresse et l'indolence, le paraître et l'insolence sont devenus vertus, l'ouverture d'esprit voudrait que je ne prie plus et fume verdure, dans le rouge, ils noient leur amertume
Mais leurs idées noires perdurent, foi perdue, couronne sertie de certitudes, nous sommes des rois
Pervertis, infertiles, plus nous avons, plus nous voyons nos vies merdiques, dans le noir, je vois les étoiles, dans le rouge sang, le vivant, admire le couchant et loue le jour suivant