Anne dans sa maison aux pignons verts Elle se penche, moi je lui pogne le derrière Elle se tourne et au lieu de me faire des reproches Elle pense croche, se rapproche et me pogne la poche Mes lèvres et ses lèvres se réunissent Pour une célébration du bilinguisme Pas de taux d'change dans ce libre-échange J'ouvre mes frontières à ses matières premières Je sépare son linge de ses formes infimes Le séparatisme devient notre doctrine Mes bobettes prennent le bord et mes gosses prennent l'air J'entre dans elle comme un suppositoire Oh! Non! Me fait-elle, ne fais pas ceci Je n'aime pas qu'on entre par la sortie Penaud comme Renaud descendu par la critique Je ne tourne pas ma langue sept fois et je réplique Ses fesses sont lisses comme un char de police Et ma caboche se glisse entre ses deux cuisses Je me sens comme le gourmand Pantagruel
Au point de se taper une pointe de tarte au poil Si les cuisses sauce brune c'pas ça qui l'allume Les poitrines sauce blanche c't'un aut' paire de manche Et dans le but saugrenu de m'arracher une tache Elle se met à me traire comme si j'étais une vache Oh! J'aurais bien voulu repousser l'échéance Elle vient toujours trop vite l'heure de la délivrance Et hop! Ça fait flop sur ses petits seins blancs Elle rit de c'que le sirop soit si abondant Elle plonge son auriculaire dans le gruau Et tout sourire, elle l'agite comme du jello Je lui dis cette cuvée je la gardais pour toi Mes bourses en étaient toutes gonflées depuis des mois Oh! Bébé à soir Y'a de l'amour dans l'air J'ai tellement de vices Et toi tu as tellement d'orifices Tes tresses sont si rousse Ta figure est si douce Que la prochaine flaque Sera dans ta face