(Michel Sardou/Jacques Vénéruso)
On m'a parlé d'elle qu'elle était aussi belle
Qu'elle était encore libre, pas vraiment, vraiment libre
Puisqu'il y avait un homme, un homme parce qu'il faut vivre
Mais la bride était longue et ses nuits agitées
Et puis y'a les jalouses, celles qui ont épousé
Un mari trop âgé, un homme parce qu'il faut vivre
Chacun sa façon de voir, moi, je me souviens d'un soir
Que je n'pourrai jamais oublier
Chacun sa façon d'être de voir à sa fenêtre
Chacun son chemin, chacun sa vérité
On m'a dit en souriant qu'elle avait mis longtemps
À n'plus parler de moi, mais ce n'était pas vrai
Puisqu'il y avait un homme, un homme parce qu'il faut vivre
Mais un homme qui l'aimait et qu'elle avait gardé
Puis on m'a dit aussi qu'elle m'avait bien menti
Mais pas vraiment trompé, un homme parce qu'il faut vivre
Chacun sa façon de voir, moi, je me souviens d'un soir
Que je n'pourrai jamais oublier
Chacun sa façon d'être de voir à sa fenêtre
Chacun son chemin, chacun sa vérité, chacun sa vérité
Un homme parce qu'il faut vivre, un homme pour se marier
Et quitter pour toujours sa jeunesse agitée
On s'est aimé très fort, on s'aime sans doute encore
Mais on n'peut plus jouer
Chacun sa façon de voir, moi, je me souviens d'un soir
Que je n'pourrai jamais oublier
Chacun sa façon d'être de voir à sa fenêtre
Chacun son chemin, chacun sa vérité