Les amours du dimanche ne reviendront jamais plus Les amoureux qui flanchent ne s'aimeront jamais plus Les arbres se débranchent, les étoiles et les étés Sont fatigués d'attendre aux cœurs déshabillés Le vent m'apporte des nouvelles de toi Le vent, c'est comme un grand soupir Devant ma porte, jusqu'au bout des doigts Le souffle chaud des souvenirs
Les amours du dimanche ont des regards éperdus Et des parfums étranges que l'on ne respire plus Le vent m'apporte des nouvelles de toi Le vent, c'est comme un grand soupir Devant ma porte, jusqu'au bout des doigts Le souffle chaud des souvenirs Les années se déhanchent et nous invitent à danser Mais le temps qui se penche a défait nos lacets