[Verse 1: Biliwald]
Ouais j'étais mort de trouille
Car j'avais peur de vivre
Être ce genre môme
À l'estime porcelaine
Rien d'un forçat juste un enfant
Avec la force d'un rêve
Et l'espace cette forteresse…
Puis cette époque ou quelque pensées éparses
Vinrent parsemer mes pages
Quelques tours de pa**e-prose
Pour en semer l'image
J'ai vue ces gens vivant de la prose se creuser la pensée pour combler la panse alors que d'autres de parent des plumes du paon
J'ai voulu prendre le temps en étreinte
L'étendre de peur de l'éteindre
J'ai pendu la pendule pour entendre le tendre ton de la terre mère
L'instant présent sans aucun traqua
La rue c'est cru mais elle n'a pas ce goût de tartare
Promet toi d'un jour lever le ciel du regard
L'horizon frêle à ses heures voir l'immense naître de l'aurore
Dehors l'air, le ciel et ses hautes sphères
J'ai conquis la mienne ici bas pour devenir maître de mon âme
Même les anges n'ont pas d'auréole
Ni d'ailes ornées d'or
Mais le visage d'une mère en pleure à ton premier départ
Parti pour les années folles
20 sweet night tous les soirs
Rise up roule un autre day
Please make it on and on and
Honey moon
La mielodie des fous de la vie
J'épouse la nuit dans sa robe de soir
Ensemble on a vêtu la ville
Coup de feutre braise orangé
Rendez-vous à cul-de-sac cité
Si tu quittes la ruellité tu verras l'étoile filer
[Pré-refrain: Biliwald]
Philosophe, j'feel le sol comme si c'était le centre du monde
Comme si le temps n'était qu'une fosse qu'un faux sentiment
Feux follets pour les uns, euphorie pour les autres
Je rallumerai la flamme par les mots et un jour elle sera votre
[Refrain: Biliwald]
Everyone can be who he wants
Being the elevate one listening to his soul
I'm never lonely, I don't need no reason
I'm never gonna wait cause life is my own heaven. (bis)