[Verse 1: Biliwald]
Un souffle se lève sur mes lèvres
Une brise céleste lorsque l'esprit s'éveille
Et s'embrase si fort, que l'âme danse sur la trame sonore
Tard le soir je traverse l'espace à la Han Solo
Man, l'averse nous guette de son havre
Ciel gris pagayerai même sous l'orage Johnny
Brandis le sabre devient Jedi son
Utilise la force pour que le sablier stop
Ambiance exquise
Si germe l'idée exploite s'en l'esquisse
Laisse vivre «l'inspi» surtout inspire l'instant
Il faudra nourrir l'esprit pour que rugisse l'instinct
Sous l'impacte des platines tectoniques
Je pratique, impatient de prendre en main mon avenir
Cet avenir appel le Maestronautes
J'kick le big bang pour que Mars explose
Refrain (2x):
Je veux m'en aller inhaler le souffle
Et jamais ne pallier secousse/
Car j'aime m'évader de tous
Et faire de mon allier le doute/
(ah) Cette sensation d'être libre, mais coincé
Entre deux lignes vides
[Verse 2: Interogene]
Comment commence le récit? comme l'essence volatile
Qui prend feu, sans faire signe, mais l'étincelle, l'éteint seul, le teint sombre ou clair
Le temps seul onde sur terre mais
Le pas s'élonge le pa**é longe mes textes
Sous pèse les lignes parallèles, soumet des seize bars à l'aise
Barèmes, thèses par amnèse, poème, thème à l'année
Et alarmé par le schéma, de ville panorama
Essaie et marque les pages, met échec et mat l'image pré-faite
Qui aménage l'engrenage de l'être, à mon âge l'encre nage en tête
Donc il faut croire en l'interligne, dépotoir de mes énigmes
Intérim des étoiles, qui marque ma rétine
Des phases de spleen, joies de vivre, croisent les phrases sur lignes
Maximise l'effet de surprise, maxillaire a**imile
J'opère haut perché, aux pères et mères immergé
Dédie le périmètre ligné, et signé de papier (et signé de papier)
Refrain (2x)