La**ée dès le réveil
Au moins sept jours par semaines
Toujours cette même rengaine
Du temps qui pa**e, hélas, hélas
Et dans un soupire
Me reviennent ces souvenirs
Me remontent nos fous rires
Mais le temps pa**e, hélas, hélas
Et comme un devoir, je me relève
Partit jusqu’au soir
Sans place sans rêve
Comme dans un couloir
Nos vies s’enchaînent
J’ai le monde en stand-by
J’ai le monde en stand-by
J’ai le corps en bataille
Comme un cœur qu’on a**aille
Y’a comme des photos qui défilent dans le métro
Dans ce monde où tous égaux,le temps nous ca**e hélas hélas
Mais moi, ce matin
J’veux plus d’hier pour le lendemain
J’veux plus me briser sous le train
Du temps qui pa**e, hélas,hélas
Dans un vent d’espoir
Je me relève
Puis quand vient le soir
Enfin la trêve
Dans mon isoloir
La nuit je rêve
J’ai le monde en stand-by
J’ai le monde en stand-by
J’ai le corps en bataille
Comme un cœur qu’on a**aille
Et j’ai besoin d’air pour tourner la page
Et déchirer celle qui me tiennent en cage
J’ai le monde en stand-by
J’ai le monde en stand-by
J’ai le corps en bataille
Comme un cœur qu’on a**aille
J’ai le monde en stand-by
J’ai le monde en stand-by
J’ai le corps en bataille
Comme un cœur qu’on a**aille
J’ai le monde en stand-by
J’ai le corps en bataille
Comme un cœur qu’on a**aille