Anaïs, Anaïs, Ana
Un je t’aime et puis s’en va
Divine amoureuse aux aléas
De son coeur qui se débat
Anaïs, Anaïs, Ana
Un je t’aime et puis s’en va
Déesse déchue sous exta
Prisonnière de son tréma
Elle a essayé, l’amour pue
L’animal, celui qui dure
Devancé les ruptures
Toujours cachée dans son armure
Elle s’arrête à la lisière du bonheur
Juste avant car elle a peur
Des mirages et des leurres
Qui la blesse gentiment
Mais laisse un trou béant
Anaïs, Anaïs, Ana
Un je t’aime et puis s’en va
Divine amoureuse aux aléas
De son coeur qui se débat
Anaïs, Anaïs, Ana
Un je t’aime et puis s’en va
Déesse déchue sous exta
Prisonnière de son tréma
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana, Ana I S A
Quand sa gorge se serre
Quand plus rien ne se s’éclate
Dans les bas-fonds où elle se terre
Elle attend qu’on la libère
Il s’approche à la lumière de la nuit
Sous les néons au ralenti
Les chevaliers de la mélancolie
Mais qui la sauvera
Anaïs, Anaïs, Ana
Un je t’aime et puis s’en va
Divine amoureuse aux aléas
De son coeur qui se débat
Anaïs, Anaïs, Ana
Un je t’aime et puis s’en va
Déesse déchue sous exta
Prisonnière de son tréma
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana
Anaïs, Anaïs, Ana, Ana-I-S-A
A-A-N-A
A-N-A
A-N-I-S-A
A-A-N-A
A-N-A
A-N-I-S-A
A-A-N-A
A-N-A
A-N-I-S-A
A-A-N-A
A-N-A
A-N-I-S-A