Pa**ée la trentaine, j'aurais aimé nous épargner, Une cent millième rengaine, un témoign'âge du cap pa**é, Oui mais voilà... Aujourd'hui, ça prend des proportions énormes, Car ma balance s'est emballée, Le compteur dépa**e les bornes, Deux, trois écarts mal négociés Et puis voilà... Je prends du bide, je prends des rides Je prends des bides, je suis à bout! Je prends du bide, je prends des rides, Je prends des bides, je prends même des joues... je gonfle! Pa**er un hiver en été, ça me branche plus que tout, Et me goinfrer en oisiveté, ne rien faire d'autre qu'être nous, Moi ça me va! Croquer la chanson rien que pour toi, Me ra**asier de l'auditoire, Sucrer surtout ne plus saler les paroles de notre histoire Voici le résultat... Je prends du bide, je prends des rides, Je prends des bides, je suis à bout!
Je prends du bide, je prends des rides, Je prends des bides, je prends même des joues... je gonfle! Du superflu dans mon confort, du gras même un peu sur les bords, D'la cellulite sur l'ambition, deux, trois kilos de frustration! L'embonpoint collé aux idéaux, une carence en alter ego, D'la peau d'orange entre toi et moi, des p'tits bourrelets de mauvaise foi... Pa**ée la trentaine, j'aurais aimé nous épargner, Une cent millième rengaine, un témoignage du cap pa**é, Oui mais voilà Aujourd'hui, ça prend des proportions énormes, Car ma balance s'est emballée, Le compteur dépa**e les bornes, Deux, trois écarts mal négociés Et puis voilà... Je prends du bide, je prends des rides, Je prends des bides, je suis à bout! Je prends du bide, je prends des rides, Je prends des bides, je prends même des joues... je gonfle!