Marie, prends ton temps sache que j'attends et que rien ne nous presse rien d'important alors, Marie, prends ton temps d'hivers en printemps je serai ton gardien ton espèce ton seul habitant Marie, ma douce, mon enfant je comprends que tu veuilles attendre encore le monde est parfois si griffant qu'y jeter le fruit de son corps est une sérieuse affaire aussi, laissons les années faire Marie, prends ton temps puisque je t'attends et que ton éclat mon ivresse, se moque bien du temps Marie, ma douce, mon enfant je sais qu'il te faut de l'argent, encore
que tu trouverais étouffant de vivre auprès de moi, d'accord si c'est le prix de ta jeunesse que Dieu bénisse ta sagesse je sais que tu as rendez-vous que tes minutes comptent plus que l'or aussi, pour ce moment si doux merci, Marie, merci encore après tout, il y a dix-huit ans moi, je n'en espérais pas tant Marie, prends ton temps toujours souviens t'en puisque rien ne nous presse rien d'important Marie, prends ton temps d'hivers en printemps mes sentiments à ton adresse sont si résistants Marie, prends ton temps...