[Verse 1 : Lalter Natiff]
Tu veux baiser l'Etat qui nous a allaité ?
Jugement altéré par le gaz à l'étage !
Alter-egotrip d'un d'ces haltérophiles
Halète sans allitérations des lyrics exécrables
Qui aime relater ses altercations
Face aux hommes de loi et de santé
Le temps qu'ils tentent aléatoirement d'ôter leucémie
Non lucide d'apparence pa**ablement éméchée
Poignarder ta parenté !
Moi je me plains de problèmes de santé
Pendant qu'tous les farcs tuent bien trop de miss au calme
Et afin d'éviter infarctus du myocarde
Je porte un holter tous les étés
Réitère pas bouffée délirante
Donc forte est ma bouée, délicate et errante
Dans bien d'autres Etats vraiment trop tolérants
J'parle pas de Téhéran, une vraie rupture
Mais pas
Des ligaments, mutilé l'indique maman
Le coeur en décimal, j'encaisse si mal
Ces dialectiques médicaments
V'là les amants abolis donc immondes, vite
Jette ton âme au diable !
Amadoué par des hédoniques sentiments jetables aux rats
Ton budget, on tablera, subalterne ou table rase
à la base ce fut une déboussolante baise
Blasant d'déblaterer ses baisers abrutis comme des braises
Elle m'a balayé d'un si ban*l "plus je ne t'aime", bang !
[Hook : Lalter Natiff]
Rechute
Rechute
Rechute ! Yo !
[Verse 2 : Lalter Natiff]
Terrible
Périple
Quant à ma paix
Elle a péri-
-clité dans des opérations bien trop pénibles
Visant à me périmer
Tous les crépuscules j'ai peur de voir se percer
Comme de la porcelaine hypérissable
Mon péritoine ou mon péricarde
Tricard ou quoi ?
Se précariser dans le ricard au calme
J'ricane carrément pas, car sans elle je plonge dans le
Vide lyrical, irrévocable ça, genre Icare et toi ?
Sans cigarette, égaré dans un hall de gare gore
La gorge écarlate d'crier hardcore
Dès qu'j'écarquille mon regard face à un sans-logis
Dont le corps git impa**ible dans le décor
Sale de prolétaire
Xeroquel sous les paupières
Colportant des pensées épouvantables
Vu qu'on bouffe de la chair
J'parle des animaux, morts
Nous sommes animés d'ordres à la Saroumane
D'hordes bien abominables
J'parle à toi minable, qui aime à faire des abdominaux
Dans ton bide ignoble habite des débris d'être vivants :
Bordel fait de post-mortem ! Carna**ier mortel !
T'aimes la barbaque ? Haïssable !
Plongé dans ta harissa...
[Hook]
Rechute
Rechute
Rechute, rechute ! Yo !
[Verse 3 : Lalter Natiff]
Préambule, dépositaire
D'une pureté qui se déambule
A part des puériles balivernes
J'étais parti bien trempé
Pithiatique donc pas inapte
Aux aporétiques omertas d'rimes
Dans des tas d'risques trop extatiques
J'ai décalé sans pécadille
J'ai fait crari d'pas claudiquer, le crâne enkysté
Abdiquer ? En qui s'terre Socrate !
Si terrifiant que l'on s'équipe de temps
T'entends l'son des erratiques-
-tures, j'm'efface et rate, tic tac font leurs flic flac !
En silence, j'les fuis dans la finesse
Mes confidents : des hymens
Mes amis philantropes essaient de m'réédifier
Une confiance exhaustive, mais inerte
Comme chiner pour des chimères
Ou des idylles non confirmées de bagues à l'annulaire
J'arrête de fumer l'calumet, la paix est canular-
-cins dans les cas lunaires-
-veux pour nous calomnier
Mon colt essaie de canarder cupidons carabiniers
J'm'excuse de pas te caliner, la pomme j'veux pas croustiller
[Hook]
Rechute
Rechute, rechute, yo !