Alité dans la chambre noire Quand certains comptent les moutons Se développent en moi des idées illusoires Qui matin se dérobent, sont floues dans ma raison J´ai des pensées malsaines Je n´aime pas les marchands de sable Qui ne promettent que le désert J´ai l´âme corruptrice j´accepte qu´il me regardent Au lit de l´oasis quand ils me mettent en scène En des fêtes perverses En termes psychiatriques je n´ai rien d´inhumain Même les politiques ont, paraît-il, ce trait commun Mais oserai-je lui dire quand j´ verrai la bouchère Que cette nuit je l´ai vu soumise tel l´ange en sa robe de chair? Il fallait que j´en parle La nuit mes songes sont luxure Mais on me ra**ure Parait qu´ c´est tout à fait normal Si parfois je me lève en sueur
Ce n´est pas à la peur de quelques rêve impie C´est que le réveil sonne quand venait le meilleur Une sirène résonne, une autre s´évanouie Je crie, je m´époumone, il n´y a rien de pis! En termes d´an*lyse je n´ai rien d´inhumain Même les gens d´église ont, parait-il, ce trait commun En termes an*logues c´est un vice anodin Même les psychologues ont des épices en leurs jardins Mais oserai-je lui dire quand j´ verrai la factrice Que cette nuit je l´ai faite prisonnière de mille maléfices? Il fallait que j´en parle La nuit mes songes sont luxure Mais on me ra**ure Parait qu´ c´est tout à fait normal La nuit mes songes sont luxure La nuit je plonge dans l´immoral La nuit mes songes sont impurs Puis je reprends une vie normale