(Vax1)
Difficile de n'pas craquer
Sous l'emprise de son
La douce tentation d'un tarpé
Surtout quand la nuit a frappé
Remarquez ce paquet de barbare et
Laché du tac-au-tac-au-tac hé
Par un mec complètement toqué
à moitié défroqué, démodé
Mais bien posé sur le rail
Trois MC un Dj, c'est pas encore nos funérailles
On travaille donc ravale ta salive
Prend le temps d'an*lyser les rimes et pose ton calibre
C'est Vax qui te cause et se livre
Et veulent ses psychoses et crises
Consacre le gros de ses écris à ce qui le traumatise
La zicmu s'accumule dans mes cellules cérébrales
Je l'a**imile, elle m'obnubile
C'est ma colonne vertébrale!
(Double A)
Bonsoir, à la tienne
écoute quand j'rappe mon coeur bat
Et quand mon bic fait des sienne
C'est comme un fix dans mon bras
J'en suis fana, je pa**e de spasmes a frissons posés
Dépa**e le stade, de tasp' et flow parfaitement dosés
Je jazz', t'est blazé
Le beat-box emphasé casé
Tease mais phase équimose, a**imile mon phrasé
Le divi-di-dende est négatif
Le compte n'est pas bon, prend ton temps
Trie dans toute ta bande des gars bon, des mecs pas nets
Sur cette planète, les malhonnêtes s'apprêtent à nous planter
La salopette
Ne fait pas le moine mais j'me méfie des pompes cloutées
J'ai douté, voulu me téléreporter de tout m'acquitter
Quand tout m'as quitté
La détente j'ait tenté de tirer, mais y a pas moyen
Même si j'suis qu'un païen le fils du pape devra venir me serrer la main
Si j'n'meur pas demain, c'n'est qu'partie remise
Au nom du christ, du 4:40 et de mon verre de vin
(Barbiok)
Salutations aux prolétaires, bien l'bonjour au patronat
Je souhaite une excellente journée à touts les enculeurs d'emplois
Je déploie mes ailes par une diction rationelle
M'imagine dans le néant, tête à tête avec l'éternel
C'est une ballade dans les limbes
D'un cerveaux malade, (ou trop dit des fusés forment(?)
J'attise les flammes, d'autres les déceptions
Et tombe de pas bien haut, papier stylo
Un peut d'gamberge, amère vision d'un monde de barges
Du fond d'ma teille jusqu'à ma gerbe y a un peut d'marche
émerge alors, sort donc la tête du goulot, gouter
Te lever pour un boulot, raboule la caille, paie ta (…)
Ou taille, rêve d'indépendance de style
D'organisation puérile ou le bonheur n'est pas bataille
Arrachés au sommeil les poumons peinent
Tein blafard, énergie consumée la veille
Gorge brulée, vide dans l'regard
Mon spliff matinal à moi me rend hagard
C'est mon labeur, c'est mon travail