Si je partais pour oublier Il est des feuilles dans le silence Qui voudraient bien ne pas tomber À l'automne de ma conscience Mais sur les sables démoulés Le bonheur ne s'arrêterait Que l'instant qu'il faut pour rêver À l'impalpable que l'on cherchait Marée d'une âme qui revient
Sur l'aile grise des mouettes {x2:} À l'heure où l'on ne sait plus bien De quoi parlaient les alouettes Si je partais pour oublier Il est des feuilles dans le silence Qui voudraient bien ne pas tomber À l'automne de ma conscience